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Mike Deschamps
Alors que les médias alternatifs semblent gagner du terrain pendant que les médias « mainstream » en perdent, Trudeau semble nerveux à l’idée de confronter une masse populaire de « réactionnaires »à chacune de de ses sorties en public. En effet, Trudeau qui se fait l’apôtre du progressisme au niveau international, ne supporte plus que l’on puisse remettre en question le multiculturalisme et la diversité. Bien que le Canada se soit fondé avec l’apport de plusieurs peuples au fur et à mesure de son histoire, le multiculturalisme et la diversité de Trudeau ne sont que les outils du mondialisme qui dessert le Capital. Rappelons qu’une société multiculturelle est une société dont l'identité de son peuple fondateur se dissout dans une multitude d'identités. Le peuple fondateur, dans le multiculturalisme, finit par devenir un vulgaire folklore. Trudeau répond donc aux impératifs du mondialisme dont le pseudo gouvernement mondiale, l’ONU, avait déjà programmé en 2000, une migration de remplacement [i]. En analysant plus en profondeur, on pourrait également dire que le multiculturalisme de Trudeau est une forme de cohabitation forcée entre des peuples venus d’horizons différents afin que règne une paix qui pourrait s’apparenter au messianisme juif. Trudeau n’a rien inventé, il n’est que le porte-parole d’une idéologie qui le dépasse.
Tel père, tel fils ?
Justine répond à ses détracteurs avec presque toujours la même élégance dont on pourrait penser qu’elle est innée chez les Trudeau, de père en fils. Tel un politicien, il enfume ses adversaires idéologiques, en évitant soigneusement de répondre aux interrogations ou aux remarques parfois désobligeantes. A en croire Trudeau, tous ses détracteurs ne seraient que des racistes intolérants, pire il n’y aurait pas de place pour eux dans la société. Déjà en février 2013, lors d’une sortie publique, en pleine campagne, Trudeau ridiculisait un citoyen qui lui posait des questions sur la Banque du Canada et la Power Corp des Desmarais. « Je ne mettrai pas les pieds chez Bilderberg » répondait-il [ii] (contrairement à son père). Cinq ans plus tard, il envoie son ministre du Commerce international, François-Philippe Champagne à Turin pour assister à la réunion annuel de Bilderberg [iii]. Cette scène d’altercation de 2013 où l’on pouvait voir l’intervenant se faire écarter de l’évènement, fût les prémices de ce qui allait se passer par la suite avec d’autres citoyens comme Matthieu Brien [iv] ou Diane Blain [v].
Bien que la question de Mme Blain fût légitime concernant les dépenses par Québec pour l’immigration clandestine, certains médias du pouvoir ont cru bon de rappeler que Mme Blain était membre de « Storm Alliance ». Et si cela n’avait pas été le cas, la question n’aurait pas été moins légitime.
Trudeau, prédicateur du mondialisme
Alors que Trudeau parcourt la Terre entière pour donner des leçons de « droits de l’homme » tout en vendant des armes aux voyoucraties du Moyen-Orient, ses services de sécurité rapprochés agissent de façon presque identique aux dictatures qu’il critique : Matthieu Brien et Diane Blain tous deux ont été réprimandés, l’un par la police, l’autre par la GRC. Trudeau est donc bel et bien le digne représentant de la démocratie marchande qui ne voit les êtres humains que comme une marchandise rentable. L’immigration doit apporter de la main d’œuvre pas chère et des payeurs de taxes. Tout opposant à cette idée doit être sanctionné afin de faire régner ce fascisme sans nom qui tue par milliers à travers le monde au nom des « droits de l’Homme ». Et la culture ? Et les traditions ? Et l’identité nationale ? Rien de tout cela ne doit être un obstacle à la politique mondialiste de Trudeau.
[v] http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/rdp/rdplbdp/item/19800-08062018-dans-l%E2%80%99ombre-du-g7-bilderberg
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