Note du Bonnet : Voici la deuxième face de la pièce. On présente ici des gens de culture musulmane qui se disent ouvertement contre le port des signes religieux chez des gens comme eux en situation d’autorité. Ces gens ne réfléchissent qu’à partir de leur condition d’ex-musulman. La première face de la pièce étant le radical qui lui veut imposer sa vision islamique. Pour comprendre comment ces deux catégories de gens représentent un danger pour le patrimoine historique et religieux du Québec, lisez « Sociologie du collabeur ».
Après les critiques dans le débat qui touche les signes religieux chez les employés de l’État québécois, le premier ministre désigné, François Legault, reçoit des appuis en provenance du monde de l’enseignement.
TVA Nouvelles a rencontré plusieurs professeures d’origine algérienne qui ont fait leur vie au Québec et qui se disent ouvertement contre le port des signes religieux chez des gens comme eux en situation d’autorité.
Ces trois employées de l’État québécois ont la même opinion du voile, de la kippa ou du crucifix qui ne devraient pas être portés à l’école par les professeurs.
«J’ai envie de vivre à mon époque et de transmettre des valeurs universelles à mes enfants d’abord ainsi qu’aux élèves, car il y va de notre responsabilité», a expliqué Djemila Addar, professeure de français au secondaire à Laval.
«On doit leur inculquer des valeurs universelles comme l’égalité et même aussi leur parler de toutes les luttes passées que ce soit au niveau des sociétés, des peuples et celles qui concernent les femmes», a-t-elle ajouté.
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