Note du Bonnet : Traiter le réfugié « comme une marchandise » est une norme à l’ONU. Il semblerait que l’ONU ait oublie le rapport qu’ils ont publié en 2000 : « Migration de remplacement : une solution aux populations en déclins et vieillissantes » ou ils indiquaient le remplacement d’une population par une autre, et maintenant ils méprisent les états qui se protège contre le raz-de-marée.
L'un de ses hauts dirigeants, Filippo Grandi, a dénoncé ce qu'il a qualifié de rhétorique « raciste et xénophobe ».
Le chef du du Comité exécutif du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, en avait long à dire lundi contre les « pays riches » qui prônent une certaine forme de nationalisme. Lors de la 69e session du HCR, M. Grandi a dénoncé la « rhétorique politique devenue impitoyable, autorisant la discrimination, le racisme et la xénophobie ».
Il se référait aux pays européens, tels que l'Italie, la Pologne et la Hongrie, qui ont décidé de fermer la porte aux réfugiés. Or, s'il a employé un ton acerbe à leur égard, il s'est montré beaucoup plus obligeant à l'endroit des États qui ont « maintenu leurs frontières ouvertes ».
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