samedi, 16 avril 2016 22:59

Holocauste médical : les médicaments psychotropes ont tué plus de cinq millions de gens au cours des dix dernières années

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Traduction par Jean Tavernier

Si chaque personne actuellement sous médicaments psychotropes ou antidépresseurs se voyait sevrée de ces dangereux remèdes et optait pour un régime nouveau et plus sain, la société s’en porterait bien mieux. Telle est la conclusion d’une nouvelle étude publiée dans le British Medical Journal qui nous révèle que plus d’un million de personnes en Occident meurent chaque année à cause des médicaments psychotropes, dont les auteurs ont démontré qu’elle amenait des bénéfices « minimes », mais également une multitude d’effets secondaires nuisibles.

 

Des chercheurs du Nordic Cochrane Center, un groupe indépendant d’analyse de la sûreté des médicaments basé au Danemark, ont analysé les données concernant les antidépresseurs et la médication contre la démence et ont trouvé que, dans la plupart des cas, les traitements de ce type peuvent être totalement interrompus sans infliger le moindre dommage aux patients. Les chercheurs ont prouvé que les bénéfices démontrés de cette thérapie très répandue sont inexistants et que bon nombre de patients y ont recours sans aucune nécessité.

Le document, intitulé « L’usage à long terme de médicaments psychotropes cause-t-il plus de mal que de bien ? », rapporte une série de tests sur les antidépresseurs et les médicaments contre la démence et démontre que, contrairement à la croyance populaire, pratiquement aucune de ces études n’a porté de regard honnête sur les effets « secondaires » de ces médicaments. Dans le même ordre d'idées, les patients qui ont pris des pilules placebos durant les tests cliniques ont montré des résultats semblables aux patients à qui l'on a administré les vrais médicaments, suggérant que les remèdes psychotropes ne marchent pas dès le départ.

Par le biais d'une méta-analyse de tests avec placebos sur des patients atteints de démence, les chercheurs ont découvert que davantage de patients meurent en consommant des antidépresseurs approuvés par la FDA américaine qu'en ne prenant aucun traitement ou en faisant appel à d’autres méthodes de traitement non-conventionnelles. De même, le taux de mortalité toutes causes confondues se révèle être plus élevé de 3.6% parmi les patients prenant des antidépresseurs approuvés de fraîche date comparé aux patients dédaignant tout antidépresseur.

« Les bénéfices [de ces traitements] auraient besoin d’être colossaux pour justifier leur usage, mais ils sont minimes », écrit Peter C. Gotzsche, un professeur du Nordic Cochrane Center à propos de l’inutilité des médicaments psychotropes.

 

La recherche industrielle sur les antidépresseurs fortement manipulée : les médicaments psychotropes tuent, et les gens se porteraient bien mieux sans eux 

La plupart des études financées par l’industrie pharmaceutique en faveur des médicaments psychotropes ont tendance à fausser tellement les groupes d’échantillons et les données de tests que les résultats en sortent dénués de sens. La sous-représentation des morts est, selon le Nordic, un autre problème majeur du processus de test clinique. Le groupe estime que le taux de suicide parmi les utilisateurs d’antidépresseurs est quinze fois plus élevé que ce que la FDA rapporte publiquement.

Pendant ce temps, les médecins continuent de prescrire des médicaments psychotropes à des patients qui n’en ont pas besoin, contribuant à la mort d'environ cinq millions d'Occidentaux au cours de la dernière décennie. Le lobbying de l’industrie pharmaceutique encourage les médecins à prescrire ces dangereux médicaments à leurs patients en échange de pots-de-vin en argent liquide, en excursions, en repas copieux et autres luxueuses largesses.

Tous ces facteurs, combinés avec la manipulation fréquente des patients au travers d’études financées par l’industrie dans le but de les pousser à consommer des médicaments nocifs, font tomber le masque de l’industrie corrompue de la médication psychotrope. Il a été prouvé que ces médicaments détruisent le cerveau, et leur seul avantage tangible est d’offrir un soulagement temporaire, mais éphèmere.

« Étant donné leur absence de bienfaits, j’estime que nous pourrions cesser presque toute drogue psychotrope sans causer de dommages – en abandonnant tout antidépresseur, traitement pour les troubles du déficit de l’attention et pour la démence… et en n’usant qu’une fraction des antipsychotiques et benzodiazépines que nous utilisons en ce moment, » ajoute Gotzsche. « Cela permettrait des populations plus saines à l'espérance de vie plus élevée. »

 

Les antidépresseurs ne fonctionnent pas et ne font souvent qu’empirer les choses pour les patients qui souffrent

Clairement controversée, l’étude de Gotzsche est à la fois opportune et pertinente puisque les antidépresseurs font les manchettes en raison de leur implication dans des tueries scolaires, des écrasements d’avions et autres malheureux événements qu'on impute souvent aux terroristes ou aux armes elles-mêmes. Elle apporte de solides arguments pour mettre fin à l’escroquerie des antidépresseurs et pour aider les gens à se rétablir après avoir été trompés par les tours de passe-passe de l’industrie pharmaceutique.

En fin de compte, l’industrie pharmaceutique produit tout simplement de fausses études qui, à dessein, ont pour but de classer tout remède testé dans la catégorie des médicaments à usage sûr et efficace. Après une analyse plus profonde, toutefois, il s'avère clairement que ces médicaments ne fonctionnent pas comme annoncé et souvent ne font que blesser de nombreux patients au passage.

« Puisque les médicaments psychotropes sont très nuisibles lorsqu'utilisés à long terme, ils ne devraient être utilisés que dans des situations bien précises et toujours avec une idée ferme d'usage dégressif, ce qui peut être difficile pour plusieurs patients », terminent les auteurs de l'étude.

 

« Il nous faut de nouvelles lignes directrices pour refléter ces nécessités. Des cliniques de sevrage sont également requises à une plus grande échelle puisque plusieurs patients ont développé une dépendance aux traitements psychotropes incluant les antidépresseurs et ont besoin d'aide pour pouvoir, lentement mais sûrement, cesser d'en consommer. »

 

Source : naturalnews.com

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