Cette voix puissante de l'Iowa a été un phare dans la tempête alors que le gouvernement Obama a ciblé les dénonciateurs et empêché la transparence comme jamais auparavant. Le Pentagone est également sous le feu du sénateur Grassley pour avoir omis d'examiner 1700 des 5200 rapports dénonçant des employés impliqués dans l'utilisation de pornographie juvénile. Le Pentagone a affirmé que ça « n'était pas une priorité ». Le sénateur Grassley et son personnel ont en fait une priorité. L'enquête fermée dans l'utilisation à grande échelle de la pornographie juvénile au Pentagone est maintenant rouverte.

Il y a une crise nationale des employés fédéraux travaillant dans l'industrie de la pornographie juvénile et une épidémie liée au niveau de l'Etat. J'ai étudié le cas de deux États, le Vermont et le Maine, qui semblent diriger, sous protection étatique, des réseaux de traite d'enfants. Il existe des preuves indiquant que des policiers, des juges, des avocats, des membres du clergé et des employés du gouvernement se protègent mutuellement. Ce genre de racket crée des réseaux pédocriminels puissants et extrêmement rentables.

L'argent encourage le crime. On estime qu'un criminel prêt à molester un enfant devant une webcam en direct peut gagner 1000 $ par nuit. À Kittery (Maine), au « Club de santé danois », une arrestation a révélé 6,1 millions $ de « frais de porte » sur une période de cinq ans avec des « prostituées » qui avaient gagné 12 millions $. Les gains des proxénètes n'ont pas été signalés. Le videur était un officier de police à la retraite dont la femme travaillait à l'arrière. Cette arrestation est dûe au dur travail d'un agent de l'IRS, Rod Giguère.

On estime que 1,4 milliards $ ont été recueillis par le programme de dénonciation de l'IRS depuis 2006; $ 464 000 000 ont été recueillis en 2010, mais 48 millions $ seulement  en 2011. La moitié de la pornographie infantile mondiale est produite aux États-Unis. Dix nouvelles images d'enfants sont publiées quotidiennement. Les estimations des bénéfices mondiaux de la gamme de la pornographie juvénile vont de 3 à 20 milliards $. Imaginez ce que le programme dénonciateur de l'IRS pourrait recueillir s'ils se concentraient sur la traite des enfants comme l'agent Rod Giguère l'avait fait dans le Maine.

Au sein du ministère de la Justice (DOJ), le département d'Exploitation des enfants a été totalement entravé sous le mandat du procureur général Eric Holder. M. Holder a même refusé de poursuivre son propre adjoint qui avait été impliqué dans la pornographie juvénile sur les ordinateurs du ministère de la Justice. L'IRS veut 4000 nouveaux agents et un budget de 300 millions de dollars pour appliquer l'ObamaCare. Au lieu de cela, ces ressources devraient être allouées entièrement pour un département d'exploitation et de traite d'enfants au sein de l'IRS.

Avec autant de policers, de juges, et d'employés fédéraux à impliqués dans l'industrie de la pornographie juvénile, les Étatsuniens devraient être en mesure de se tourner vers le programme de dénonciation de l'IRS. Richard Weber, chef de la Division pénale de l'IRS à Washington DC, est un point de contact. Apparemment, l'IRS se soucie du trafic d'enfants. Voilà de bonnes nouvelles, car le procureur général des États-Unis, Eric Holder, ne s'en soucie pas.

La traite des enfants et la pornographie pédocriminelle sont les crimes les plus croissants en Amérique. Avec des milliards blanchis dans l'argent noir, il est logique économiquement pour l'IRS de se concentrer sur l'industrie de la pornographie juvénile. Le Ministère de la Justice d'Eric Holder a démontré qu'ils n'avaient aucun intérêt dans la poursuite pénale des pédocriminels, pas même les leurs. L'IRS devrait être doté de ressources assez élevées pour compenser l'échec honteux de Holder. Les contribuables américains, ainsi que les enfants étatsuniens vont récolter d'énormes récompenses.

Peut-être que le sénateur Grassley élèvera sa voix puissante en guise de soutien.

Source : redflagnews.com