Deux FEMEN dont la québécoise Neda Topaloski se sont rendues dans un bureau de vote pour protester contre Trump. Les questions que nous sommes en droit de nous poser :
1. Peut-on passer la frontière tout en étant activiste ? La demoiselle est connue pour semer la pagaille comme sur la rue Crescent lors de l'évènement Formule 1.
2. Pourquoi laisse t-on entrer une personne qui n'a pas la citoyenneté américaine dans un bureau de vote ? Peut-on imaginer une personne (par exemple un terroriste) entrer sans présenter ses papiers d'identité ?
Tout laisse croire qu'une fois plus, les FEMEN ont obtenu des passes droits. Neda Topaloski déclare elle même au Journal de Montréal « C’était surprenant, mais la police de New York était très respectueuse. Un agent m’a même dit qu’il respectait les gens qui prennent des risques pour leurs idées ».
Selon le JDM, “Sa complice et elle ne s’en tirent d’ailleurs qu’avec une infraction de «propagande électorale», pour avoir troublé l’ordre public en encourageant le vote envers un candidat dans un bureau de scrutin.” Il est évident que la police a reçu des consignes.
Qui est derrière ce coup médiatique ?