C'est la même chose pour les animaux de boucherie : même s'ils sont mal alimentés, avec toute sorte de cochonneries et avec des régimes foncièrement malsains pour augmenter le gain de poids et en fin de compte le profit, ils sont abattus bien avant de pouvoir développer des maladies.

Pour les humains aussi, la plupart de nos maladies se développent à partir de la quarantaine. L'augmentation de la longévité et une reproduction tardive ont un prix : la maladie ou la décadence dans un certain sens.