Cette formation est reconnue par le Barreau du Québec.
Selon le site de l'ACAM : «la Kafala musulmane, que l’on retrouve dans plusieurs pays de droit musulman ne constitue pas une adoption au sens du droit civil québécois mais plutôt une prise en charge de l’enfant, similaire à une tutelle.»
Mme Sirois a indiqué que les enfants pris en charge en vertu de la Kafala ne jouissent pas des mêmes droits que les enfants biologiques ou adoptifs.
Elle a également fait état de cours sur la charia donnés à l'Université de Montréal, et de notaires offrant des testaments et des contrats de mariage conformes à la charia.
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Au Royaume-Uni, le Barreau avait adopté des directives sur la rédaction de testaments conformes à la charia qui ont soulevé un tollé en raison des dispositions discriminatoires envers les veuves, certains orphelins et les non-musulmans. Elles ont été retirées, et le Barreau a offert ses excuses.
Source : postedeveille.ca