Mike Deschamps

De quoi doit-on se débarrasser en premier ? De l’état délimité par des frontières ? Ou de la religion,  comme sphère d’influence sur le peuple ? Le mondialiste Soros choisit la destruction des frontières alors que les réseaux occultes illuministes de tradition kabbalistique qui influencent nos politiciens dans leurs choix mettent la priorité sur la destruction de la religion comme sphère d’influence, en particulier du catholicisme…

Et c’est parce que les frontières et la religion constituent le noyau dur de la nation, qu’on les attaque. Ils permettent de perpétuer la tradition, la famille, les coutumes et la transmission des valeurs ancestrales. Ernest Renan disait « Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent… » [i]

Un bras de fer oppose alors d’un côté le Conseil national des musulmans du Canada (CNMC) et l'Association canadienne des libertés civiles [ii] avec pour plaignante l’étudiante Ichrak Nourel Hak et de l’autre le gouvernement du Québec [iii]. Deux visions mondialistes s’opposeront tout au long de ce procès.

Destructeurs de frontières contre destructeurs de principes religieux

Les destructeurs de frontières n’ont que faire des frontières, pourvu que le migrant puisse rentrer là où il le veut, quand il le veut et vivre à sa manière dans le ghetto qu’il choisit. Rien ne doit être un obstacle à la libre circulation des hommes et des marchandises. Les destructeurs de frontières sont financés par les mondialistes comme Soros et armés idéologiquement par les loges anglo-saxonnes pour instaurer un multiculturalisme. Ce que la justice canadienne prend pour une association indépendante, est en fait une association qui se transforme en lobby politique. C’est le cas de l'Association canadienne des libertés civiles qui en 2016 toucha 125 653$ de la part de l’Open Society de Soros. [iv]

Les destructeurs de principes religieux ont fait leur apparence sur la scène politique sous la forme d’un lobby maçonnique le 29 mars dernier [v]. Rappelons-nous des personnes de ce lobby défiler tour à tour devant les membres du gouvernement dans une consultation pour une version maçonnique de la laïcité : Daniel Baril pour le Mouvement Laïque Québécois, Djemilah Benhabib, Louise Mailloux, Fatima Houda-Pepin et Nadia el Mabrouk pour ne citer que ceux-là. Tous entretiennent le réseau maçonnique par leurs relations avec des membres du Temple du mondialisme, le Grand Orient, aussi partisan d’un monde sans frontières.

Les deux faces de la même pièce

On pourrait donc s’étonner de voir les deux faces de la même pièce s’opposer dans un procès. C’est pourtant un combat à mort entre les élites du mondialisme dans une fédération anglo-saxonne, qui tentent de deux façons différentes (dans ce cas-ci) d’arriver au même résultat, pourvu que le peuple canadien-français ne se réconcilie pas avec ses racines catholiques.

[i] http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/focus/item/896

[ii] https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-faits-divers/201907/09/01-5233268-les-opposants-a-la-loi-sur-la-laicite-demandent-sa-suspension.php

[iii] https://ccla.org/ccla-nccms-application-regarding-bill-21/

[iv] https://www.opensocietyfoundations.org/grants/past?filter_keyword=canadian&grant_id=OR2015-23215

[v] http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/rdp/item/22352