Mike Deschamps
Accusant un certain nombre d’années dans l’ingérence en Afrique, remportant tous les prix de la pleurniche depuis que Trudeau est au commande, vend des armes aux dictatures du Moyen-Orient, dans le coin gauche, le Canada. Dans le coin droit, la voyoucratie qui finance le terrorisme islamique international, le désert qui survit uniquement grâce à son pétrole, il achète le monde politique, nous avons nommé la voyoucratie saoudienne, l’Arabie Saoudite.
Nous l’apprenions aujourd’hui : à la suite de diverses remarques du gouvernement de Trudeau sur le non-respect de la bible occidentale de la marchandise, les droits de l’Homme concernant les femmes (en particulier, l’activiste Samar Badawi), la voyoucratie saoudienne s’emporte et décide d’expulser l’ambassadeur canadien et rappelle le sien [i]. Elle suspend également tous les échanges en cours…Cela ne s’arrête pas là…
Le bras de fer continue…
Le media d’état de la voyoucratie saoudienne qui s’est déchainé sur le Canada toute la fin de semaine arrive avec un « twit » qu’il retirera par la suite [ii] :
Une image montre un avion de ligne de la compagnie Air Canada qui semble se diriger tout droit vers la tour CN de Toronto rappelant la mise en scène des attentats du 11 septembre 2001. Cette image est accompagnée du commentaire « Mettre le nez là où il ne devrait pas ». Cela peut évidemment faire référence au comportement du gouvernement canadien comme cela peut être interprété comme une menace contre l’état canadien.
Le spécialiste de la politique du Moyen-Orient, Tobias Schneider rappelle le proverbe arabe « Celui qui met son nez là où il ne devrait pas, finit par trouver quelque chose qui ne lui plaira pas ».
Comme si cela ne suffisait pas…
Dans un twit la voyoucratie saoudienne met le Canada en garde « Toute autre tentative d’ingérence dans nos affaires internes signifiera que nous serons autorisés à s’ingérer dans les affaires internes du Canada ». Certains dans le monde anglophone, y ont vu un possible support de la souveraineté du Québec. Bien qu’il ne s’agisse que de paroles, au cas où l’Arabie Saoudite voudrait s’ingérer dans les affaires de souveraineté du Québec, nous pourrions leur dire d’aller vendre leur merguez ailleurs. Nul n’a besoin du support du berceau de l’islamisme pour entrainer un pays vers l’indépendance.