Mike Deschamps
C’est plus tôt cette semaine que nous apprenions que les cours (contenus) d’éducation sexuelle ne seraient pas introduits dans les programmes scolaires pour la rentrée prochaine. Selon le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx, personne n’est prêt à enseigner cette matière, ni les professeurs, ni les écoles. Selon Proulx, "c’est une tendance mondiale tout le monde le fait", il faudrait donc l'appliquer au Québec. Argument très faible venant d’un ministre qui devrait peut-être se contenter uniquement des loisirs. Rappelons quand même ici quelques exemples de ce que nos “élus” préconisent pour nos enfants :
- Selon le document officiel [1], un enfant de 7-8 ans devra savoir entre autres que l’anus est un organe sexuel autant chez les filles que les garçons. Il s’agit donc en partie d’introduire l’homosexualité dans l’esprit de nos jeunes.
- Théorie du genre pour les enfants de 6-7 ans (et 8-9 ans) : les rôles sexuels associés aux filles et aux garçons seront passés en revue ainsi que les activités, champs d’intérêt (sports, jeux, etc.), métiers et finalement les notions de stéréotypes sexuels. Pour résumer, il s’agit de dissocier des métiers ou des rôles en fonction du sexe biologique et donc d’enseigner qu’un garçon peut par exemple jouer à la poupée et qu’une fille pourrait jouer avec des voitures. Enseignement non-genré.
Rappelons également que l’Unesco sur lequel se base partiellement le guide “Apprentissage en éducation à la sexualité” [1] travaille en partenariat avec le “Sexuality Information and Education Council of the United States (SIECUS)” un organisme du Kinsey institute [2] crée par Alfred Kinsey, pédophile notoire. Même chose pour les références suivantes qui s'appuient sur les prétendues recherches de Kinsey :
- “Gender development”, dans W. Damon (Series Ed.) et N. Eisenberg (Vol. Ed.), Handbook of Child Psychology, Sixth Edition, vol. 3, New York, John Wiley and Sons.
- American Journal of Sexuality Education
- The Development of Romantic Relationships in Adolescence
L’éducation sexuelle tout comme l’éducation générale devrait être la responsabilité des parents. Nous n’envoyons nos enfants à l’école que pour les instruire, pas pour les éduquer.
Rappelons finalement que les cours d’éducation sexuelle sont préconisés par la franc-maçonnerie progressiste qui aimerait voir l’éducation des enfants échapper aux parents.
[1] Nouveau lien mis à jour le 24 avril 2019 : http://www.education.gouv.qc.ca/fileadmin/site_web/documents/education/adaptation-scolaire-services-comp/EDUC-Apprentissages-Sexualite-EnseignantsPrimaire.pdf
Commentaires
Libre à eux de ... plus tard ... s'empêtrer dans la matière , même ces formes les plus grossières qu'on veut absolument leur présenter maintenant , et devenir des esclaves de leurs sens !!!
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