On entend souvent l'expression «sentence bonbon» pour décrire une condamnation trop clémente, mais il est plus rare d'entendre un condamné le penser de sa propre sentence. C’est le cas de Francis Gauthier qui avait lancé une boisson gazeuse à un itinérant 2016.
«Ma première sentence de toute ma vie, j'ai pogné quatre ans et demi. Mes sentences vont en descendant», avoue-t-il, abasourdi.
L'homme aux lourds antécédents criminels a écopé d'une peine de deux ans moins un jour pour son quatrième vol qualifié commis l'été dernier à Trois-Rivières.
Gauthier était accusé de vol qualifié, complot pour commettre ce vol, séquestration, possession d'arme et de drogue. Son avocate explique qu'en raison de la preuve de la Couronne, la plupart des accusations sont tombées, à l'exception du vol qualifié.
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