2016 - mauvaise année s'il en est une, tu peux partir, on ne te retiendra pas! Cet ordre, on ne peut le nier, est partagé avec une rare unanimité.
Sur la planète, le pot-pourri politique est en effet plutôt nauséabond - attentats terroristes, montée de l’extrême-droite, pilonnage sanglant d’Alep, etc., etc, etc...
Comme si nous étions éternellement protégés des pires calamités, au Québec et au Canada, l’année a plutôt été marquée par ce qui semble vouloir s’installer comme une nouvelle routine.
Même s’il perd quelques plumes, Justin Trudeau caracole encore et toujours au sommet des sondages. 2017 marquant le 150e anniversaire du Canada, le premier ministre en récoltera aussi de nombreuses occasions d’occuper les devants de la scène politique au pays.
Face à lui, le NPD, les conservateurs et les bloquistes se cherchent tous un chef...
Pour ou contre, les projets de pipelines prennent peu à peu leur envol.
La seule véritable inconnue : malgré l’approche non-conflictuelle de Justin Trudeau face au prochain président des États-Unis, de quoi sera vraiment faite la relation politique entre le premier ministre canadien et Donald Trump? Mystère et boule de gomme...
Au Québec, 2017 sera une année pré-électorale. Désolée pour l'euphémisme, mais les principaux partis y joueront chacun leur va-tout.
Par tous les moyens possibles, Philippe Couillard et les libéraux chercheront à faire oublier aux électeurs les deux dernières années d’austérité et le retour constant des scandales de l’ère Charest. Un peu comme si le tout n’était qu’un mauvais rêve...
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