30.12.2016 - Le nombre de mineurs se déclarant transgenres a doublé en 2016 au Danemark

La propagande LGBT est décidément efficace. Au Danemark, selon les estimations actuelles, le nombre de mineurs à s’être déclaré transgenres cette année a doublé, dans un contexte de libéralisation de l’accès aux thérapies hormonales. Depuis janvier 2016 en effet, la Clinique de sexologie de Copenhague a proposé ce type de traitement aux mineurs qui se sentent, comme disent les militants du genre, « prisonniers » d’un corps qui ne correspond pas à leur sexe ressenti.
 
Au début de l’année, la clinique pensait voir arriver quelque 50 demandes de mineurs en 2016, mais ce nombre a été dépassé en six mois à peine, conduisant l’établissement à augmenter son estimation pour l’année à 130 demandes.
 
Il s’agit là de traitements réputés irréversibles, accessibles désormais aux mineurs de 16 ans et plus.
 
Dès l’âge de 12 ans, les jeunes au Danemark peuvent se voir prescrire des bloqueurs de la puberté, qui permettent d’éviter l’apparition de la pilosité faciale chez les garçons et des règles chez les filles, mais les effets de ces bloqueurs sont réversibles.

Plus de 100 mineurs transgenres ont demandé une thérapie hormonale en 2016

Vu la rareté supposée de la « dysphorie de genre », le nombre de demandes de changement de sexe en due forme émanant de mineurs âgés de 16 ou 17 ans devrait surprendre. Mais pour l’association nationale pour les droits gays, lesbiens, bi et transgenre, LGBT Danemark, leur inflation soudaine est au contraire une bonne nouvelle, qui s’explique par le « retard à démarrer les traitements », comme a indiqué le porte-parole Linda Thor Petersen. « Les enfants sont désormais beaucoup plus nombreux à pouvoir déterminer s’ils désirent recevoir un traitement et le recevoir également à un moment où la puberté ne leur a pas encore causé de dommages », explique-t-elle. Selon Linda Peterson, le commencement de la puberté provoque des modifications corporelles qui rendent bien plus ardu le changement de genre.
 
Voilà qui explique pourquoi le lobby LGBT met tant d’insistance à exiger le « droit » aux thérapies de changement de sexe dès le plus jeune âge, celui où justement les enfants découvrent et construisent leur identité, en proscrivant dans le même temps toute thérapie cherchant à aider les enfants à comprendre et à accepter ce qu’ils sont réellement.

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