03.11.2016 - Anne-France Goldwater craque en ondes : histoire de solitudes ...

Note du Bonnet : ... solitudes pour tous

* ... pour la pauvre Goldwater, incapable de sortir de sa condition de femme et des incohérences conceptuelles qui y sont liées : "je choisis mes relations sexuelles, je maîtrise ma sexualité mais les hommes restent des agresseurs !"
* ... mais surtout pour nous, Québécois, moins "mâââles" que petits garçons, incapables de concevoir réellement les différences profondes de raisonnement entre hommes et femmes, et donc prêts à dénoncer avec une hargne mâtinée de défiance, vous savez, cette défiance que manifeste un élève de secondaire 3 contre son professeur (tels les féministes tant abhorrées, mimétisme ?), tout comportement s'apparentant à de la "misandrie" !

Visée par une plainte déposée par deux confrères au syndic du Barreau du Québec à la suite de ses déclarations jugées offensantes et dénigrantes envers les hommes, Anne-France Goldwater a brisé le silence au micro de KYK Radio X.

Dans cette entrevue accordée à Dominick Fortin et Martin-Thomas Côté, l’avocate, au bord des larmes, a raconté être attaquée de toutes parts depuis son passage à Tout le monde en parle où la colorée avocate avait alors affirmé que «les hommes sont utiles pour quelque chose, mais pas nécessairement pour grand-chose» et que «les garçons, on leur enlève les couches à l’âge de 30 ans».

Voici quelques-unes des citations marquantes tirées de l’entrevue accordée à KYK Radio X

No 1 Quand quelqu’un dépose une plainte au Barreau, l’avocat qui est visé n’a pas droit de répondre et en parler, alors je suppose de la brillance de la démarche parce que ça permet à ces deux [avocats] de dire n’importe quoi sur ma personne et j’ai aucun droit de répondre. C’est pénible, mais c’est comme ça. Et croyez-moi, ce n’est pas l’envie qui manque de répondre par rapport à des personnes qui cherchent à m’attaquer aussi vicieusement.

No 2 «Ça, c’est la réalité. Ça fait 10 ans, plus de 10 ans que je vis ça. J’en ai ras le bol des commentaires. De me traiter depuis 10 ans, depuis l’affaire Éric et Lola, de moche, de grosse vache, de pas baisable et juste pour une seule raison: parce que je me suis identifiée comme féministe.»

No 3 «Dans l’opinion de certains, dès que vous dites que vous êtes féministes, il est évident que vous haïssez les hommes. C’est tellement épouvantable comme équation. Que les gens sont sourds et aveugles à l’absurdité de la chose. J’en reviens pas.»

No 4 «Par exemple, je suis traitée de lesbienne. Où est l’équation entre lesbiennes, féministe et ne pas aimer les hommes? C’est incroyable!»

No 5 «Ils [les avocats qui ont déposé la plainte] sont en train de m’instrumentaliser moi et le Barreau – c’est honteux pour le Barreau – pour marquer leurs points.»

No 6 «Ça se peut que le prochain président des États-Unis soit un prédateur sexuel et ça passe encore.»

No 7 «Nous vivons dans une société où Mme Thériault, ministre de la Condition féminine et Mme Vallée, ministre de la Justice, n’osent même pas dire elles-mêmes être féministes parce qu’elles vont se faire traiter comme moi je me retrouve traitée.»

No 8 «Je suis attaquée là où le bât blesse le plus cruellement pour une femme, c’est d’être attaquée sur mon apparence et de manière éhontée.»

 

Source : Le Journal de Québec

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