12.10.2014 - Geert Wilders, l’allié de Marine Le Pen au Parlement européen, accusé de crime rituel

Le 5 juin 2014, devant la Cour de Justice Internationale de Droit Commun de Bruxelles, Anne Marie van Blijenburgh, accuse la reine des Pays-Bas et plusieurs membres de l’élite politique néerlandaise, dont le très islamophobe et pro-sioniste Geert Wilders, allié de Marine Le Pen au Parlement européen, de pratiquer des crimes rituels sur des enfants.

Cette déclaration fait suite à deux précédentes affaires qui entachent les Pays-Bas, démontrant que les élites mondiales, sont des adeptes du satanisme, comme en atteste l’explosion de la pédophilie :

 En 1995, en Turquie, un adolescent de douze ans déclare à la police avoir été enlevé et violé sur un yacht de luxe par Joris Demmink, secrétaire général du ministre de la Justice néerlandais. Les enfants étaient fournis par un fonctionnaire de la police turque, Mehmet Korkmaz, attaché à la sécurité de Demmink pendant ses « vacances ». En 2012, un journaliste d’investigation néerlandais, Micha Kat, est arrêté dès sa sortie d’avion, à l’aéroport de Schipol, à Amsterdam : il connaissait les noms des hautes autorités qui avaient couvert Demmink. Kat possédait le témoignage d’une des victimes de Demmink, affirmant avoir été à la réalisation de snuff movies à Prague, où un adolescent serait mort après avoir été sodomisé avec un vibrateur. Un proche de Demmink, Frits Salomonson, avocat personnel jusqu’en 1996 de la reine Beatrix, était l’amant de son mari, le prince Claus [1].

 

En novembre 2013, une autre citoyenne néerlandaise, Toos Nijenhuis,devant le Tribunal pénal international sur les crimes de l’Église et de l’État (ITCCS), a témoigné avoir vu le cardinal hollandais Bernard Alfrink, le prince Bernard de Hollande, fondateur du groupe Bilderberg, et le cardinal Joseph Ratzinger, le futur Benoît XVI, de pratiquer des sacrifices d’enfants [2].

« Mon nom est Anne Marie van Blijenburgh. Je suis mariée depuis vingt-quatre ans à Kees van Korlaar. Ensemble, avec ses trois frères, Kees van Korlaar forment une organisation criminelle du nom d’Octopus Syndicate. Ils sont actifs depuis 1960. Sur demande de la reine Beatrix, ils ont organisé le meurtre, la torture, le viol d’enfants lors de réunions publiques. Ils organisent cela par le biais de centres de détention pour adolescents aux Pays-Bas. Les criminels disaient auprès des centres de détention qu’ils avaient demandé à la cour des enfants pouvant travailler pour la reine hollandaise, pour un certain temps.

Ils ont volontiers donné les fichiers d’enfants aux criminels.

Quand les centres de détention voulurent vérifier la demande des criminels, ils communiquaient un nom et les coordonnées téléphoniques d’un haut représentant de la cours de la reine Beatrix, expliquant que la cour hollandaise.

Après la réception des dossiers de trois enfants, les criminels sélectionnaient l’un d’entre eux qui n’avait pas de famille. Ils disaient au centre de détention les enfants qu’ils voulaient. Le centre rendait les habits à l’enfant qui prenait le train jusqu’à Zwolle.

Les criminels prenaient l’enfant à la gare de Zwolle et l’amenaient à un bâtiment qui était équipé comme un hôtel mais qui ne faisait pas fonction d’hôtel, bien que des personnes faisaient en sorte que ce lieu ressemble au fonctionnement d’un hôtel. L’enfant était disposé sur une table et on lui donnait quelque chose à boire. Il était drogué. Dans le bâtiment, il y avait des gens qui étaient assis et à un moment précis l’enfant était apporté par les criminels dans un autre bâtiment, pour y être torturé, violé et assassiné.

L’audience était composé du prince Johann Friso, le second fils de la reine Beatrix. Johann Friso était relativement fou et a un intérêt malsain pour les enfants et est suivi quotidiennement par un psychiatre. Le nom du psychiatre est Guus Pareu Dumont. Les criminels organisaient ces meurtres en accord avec la reine Beatrix, qui prenait tous les frais à sa charge. Les criminels demandaient à Johann Friso d’amener ses amis. Ainsi, la totalité du bâtiment était remplie de personnalités, tels des ministres, des hauts-gradés de l’armée et toute sorte de personne que les criminels pouvaient photographier pour en tirer certains avantages.

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