Après que sa cour suprême ait légalisé certaines formes de bestialité – ce qui excite sans doute les gens du Monde, le Canada poursuit sa chute dans la décadence. Le scénario décrit dans le titre est un « scénario du pire », et quelques amendements interviendront sans doute, mais que ce soit une possibilité réelle est déjà étourdissant.

Traduction de l’article du Daily Stormer.

Comme je suis certain que vous le savez déjà, le Canada a beaucoup de défauts qui empêchent le pays d’être super. Heureusement leur courageux premier ministre hyper-gauchiste, Justin Trudeau, a promis de transformer ces défauts en avantages de niveau mondial !

Au programme tout d’abord se trouvaient les peuples marron. Comment le moindre pays peut-il être génial sans que sa population ne soit à majorité marron ? Trudeau s’en occupe déjà !

Mais les personnes colorées ne feront pas à elles seuls d’un pays la société de calibre mondial, super tolérante, que les Canadiens demandent. Donc quelle est l’étape logique suivante ?

Ils ont besoin de plus de tantouzes ! Et les tapettes ont besoin de sexe anal. Partout où ils le désirent. Avec des enfants mineurs si nécessaire.

Quelle sorte d’intolérant faut-il être pour pouvoir s’opposer à cela ? C’est de manière évidente un droit de l’Homme, probablement plus important que tous les autres !

Life Site News :

Une critique : les projets de Trudeau autoriseront le sexe anal n’importe où, n’importe quand, avec n’importe qui.

Le premier ministre libéral Justin Trudeau a l’intention de mettre en application la plupart, si ce n’est toutes, des recommandations contenues dans « le rapport sur la société juste » de juin 2016 du groupe militant des droits homosexuels Egale, rapportait John Ibbitson du Globe and Mail.

Cela signifie que Trudeau présentera ses excuses, probablement en septembre, aux homosexuels canadiens emprisonnés, licenciés, ou autrement pénalisés dans les décennies avant 1969, écrit Ibbitson.

C’est toujours ainsi que cela commence, avec une excuse.

Mais plus à propos, on prévoit que les libéraux mettent en place les propositions d’Egale, écrit Ibbitson, les décrivant comme « un large ensemble de réformes qui vont collectivement représenter l’une des plus grandes avancées pour les minorités sexuelles de l’histoire du Canada ».

Mais Gwen Landolt de Real Women a une vision fortement différente, avertissant que le rapport d’Egale contient la « recommandation très, très, très troublante » d’abroger la section 159 du code criminel.

 

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