11.08.2016 - Enfants élevés par des couples homos deux fois plus susceptibles d'être déprimés et obèses

Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Depression Research and Treatment, le taux de dépression, d’obésité et de tendances suicidaires chez les adultes élevés par des couples de même sexe est plus élevé que chez les adultes élevés par une famille traditionnelle formée par des parents hétérosexuels.

Selon l’étude, qui a suivi le développement des enfants jusqu’à l’âge adulte, 51 pour cent de ceux élevés par des couples de même sexe avaient souffert de dépression, comparé à seulement 19,7 pour cent pour ceux élevés dans le cadre de familles traditionnelles hétérosexuelles.

« À 28 ans, les enfants élevés par des parents de même sexe sont 2,25 fois plus susceptibles d’éprouver une dépression que les jeunes adultes de la population générale. La dépression chez l’adulte est associée à de plus fréquents cas de victimisation, d’obésité, de stigmatisation et d’éloignement envers un ou deux parents ».

Trente pour cent des adultes élevés dans des ménages homosexuels avaient des pensées suicidaires en comparaison à 7 pour cent des adultes issus de ménages traditionnels. Aussi, 71,9 pour cent des adultes élevés dans des foyers homosexuels étaient obèses, par rapport à 37 pour cent pour ceux éduqués dans des foyers hétérosexuels.

L’étude montre que les enfants élevés par des homos ont davantage été giflés ou frappés par un des parents ou gardiens. Davantage de ces enfants ont déclaré qu’ils avaient subi des attouchements sexuels, qu’ils avaient été forcés de pratiquer des caresses sexuelles ou qu’ils avaient été contraints à avoir des relations sexuelles.

L’étude contredit les prétentions des militants LGBTQQIAAP[1] selon lesquels il n’y a pas de différence entre le fait d’être élevé par des homosexuels ou par des hétérosexuels.

L’étude se fonde sur les données impartiales de l’Enquête longitudinale nationale sur la santé des adolescents. Elle a été dirigée par le professeur Paul Sullins de l’Initiative Leo. Il travaille avec le Département de sociologie de l’Université catholique d’Amérique depuis de nombreuses années.

La principale limite de l’étude est que la base de données nationale ne contient des informations sur les enfants élevés par seulement vingt couples de même sexe. Mais, ce très faible échantillon se comprend : il y a très peu d’enfants élevés par des homosexuels et encore moins pendant de nombreuses années. Malgré cela, comme le dit le sociologue Mark Regnerus au sujet de cette étude, « si l’estimation du nombre de ménages de même sexe dans les graphiques est imprécise, cela ne mine en rien l’importance des différences entre les groupes. »

L’étude a déjà été attaquée par des blogues LGBTQQIAAP qui ont tendance à bondir sur toute étude aux données négatives pour leur cause.

 

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