Note du Bonnet : quand les femmes font le dur constat que le carriérisme et l'arrogance de la femme moderne rebutent l'homme moyen ... Quel homme normalement constitué, après sa journée de labeur où il est poussé au maximum de sa productivité face à la concurrence, accepterait-il de se chicaner à longueur de soirée avec une femme imbue de sa propre personne ?
Remarquez d'ailleurs que l'homme n'est pas le seul à être sélectif et à laisser des femmes sur le carreau : observez le "peut-être devrais-je renoncer à quelqu'un que j'aime et me tourner vers quelqu'un qui convient" dans la vidéo de pleurniche suivante. Là aussi, quel homme normalement constitué accepterait-il de jouer les seconds couteaux ?
La femme égocentrique se pose-t-elle seulement ces questions ? Non, bien sûr, la faute ne lui revient jamais ! Féminisme, solitude pour tous !
Si en Europe les femmes ne s'empressent pas de fonder un foyer, préférant jouir de leur liberté, les femmes célibataires en Chine sont considérées après 27 ans comme un "rebut", et leur statut social devient très difficile à assumer...
Diplômes, succès professionnels, sommes d'argents gagnées, tout cela ne signifie rien aux yeux parents chinois, si leur fille, méprisée par la société, n'est pas mariée.
"A chaque fois que je rentre à la maison, je finis par me disputer avec ma mère à propos de ma vie sentimentale. Elle me dit qu'elle va perdre la face devant les voisins si je ne me marie pas rapidement. Pour mon père et elle, je représente une grosse déception", confie au magazine Marie Claire une Chinoise de 32 ans, Chen Xin.
Si en France, on appelle une femme célibataire de plus de 25 ans une "Catherinette", en Chine, le terme est beaucoup moins élogieux: "Sheng nu" signifie littéralement "femme-rebut".
Ainsi, la Chinoise Vivi ose une comparaison peu flatteuse: "C'est comme si on était de la vieille nourriture laissée dans un réfrigérateur et dont plus personne ne veut".
Plusieurs Chinoises affirment que la cause de ce rejet est que les hommes ne veulent pas d'une épouse qui serait plus intelligente qu'eux, plus éduquée et indépendante. Pas étonnant, donc, que les jeunes femmes en début de carrière, peu sûres d'elles-mêmes, soient les plus recherchées. En outre, la tradition exige encore que, dans le couple, l'homme soit plus vieux ou plus aisé financièrement que la femme.
Être une femme accomplie ou mariée, tel est donc le choix pour ces Chinoises qui aiment à détourner le sens des mots "sheng nu", dont la prononciation en chinois est absolument identique à celle de l'expression "femme victorieuse"…
Source : Sputnik News