04.07.2016 - Le Québec peine à retenir ses immigrants francophones

Beaucoup d'immigrants francophones quittent la Belle Province faute de trouver un travail, une situation et une culture qui les intègrent. Et souvent, c'est l'Ontario qui leur ouvre les bras.

Ils sont nombreux, ceux et celles qui ont rêvé de s'établir au Québec afin de se refaire une vie en français. Les publicités gouvernementales laissent miroiter des possibilités d'avenir assuré dans leur langue maternelle, avec un processus de sélection qui les avantage.

Rendus ici, ils sont dans bien des cas confrontés à une tout autre réalité. « Au Québec, j'ai été immédiatement mis dans une boîte : celle de l'immigrant francophone, chose que je n'ai pas vécue ici, à Toronto avec les anglophones, même si j'ai un accent en anglais », se souvient George Achi, un Libanais d'origine, naturalisé Français.

Même s'il occupait un bon emploi, il a quitté le Montréal qu'il aimait, mais qui lui rappelait un peu trop les questions identitaires de son passé franco-libanais.

Le couple Sibileau-Brossas, originaire de France, a immigré il y a quelques mois à Mississauga, la banlieue de Toronto. L'entreprise de Thomas Brossas a déménagé ses activités aéroportuaires vers l'aéroport international Pearson de Toronto, le plus important au pays.

Et son épouse, Marine, l'a accompagné.

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