26.06.2016 - En Allemagne, des élèves sont initiés au sadomasochisme et à la sodomie dès l’âge de 12 ans ...

"Les enfants devraient jouer des scènes de théâtre sur le thème de la sodomie à l’école", c'est le titre d'un article du grand quotidien allemand "Die Welt"

On y apprend que, sous prétexte d'éducation sexuelle et de lutte contre l'homophobie, les petits allemands sont initiés très jeunes à des pratiques telles que le sadomasochisme, la sodomie, la partouze...

Voici la traduction de cet article (Un grand merci à Sophie G): 

"Dans la région de Westphalie Rhénanie du Nord (NRW), les enfants pourraient très tôt être confrontés en cours au sadomasochisme et aux clubs de rencontres sexuelles homos. Certains experts recommandent même la représentation du sexe anal dans des pièces de théâtre – y incluant les godes.  

Yvonne Gebauer s‘était déjà investie pour le respect des individus de toutes orientations sexuelles, alors que ceci n‘était encore que bien peu reconnu dans les milieux conservateurs. Il y a plus de huit ans, alors au conseil municipal de Cologne, la démocrate indépendante exhortait à la lutte contre les attitudes homophobes dans les écoles. Mme Gebauer a soutenu le projet d’information "école sans homophobie". Elle est restée fidèle à cet objectif. La porte-parole pour le système scolaire du groupe parlementaire du FPD (parti libéral-démocratique- centre droite) au parlement du Land NRW a, depuis cette époque, mis en garde plusieurs fois sur le fait que celui qui accepte aujourd’hui l’omniprésence de l’injure "pédale" dans les cours d’école ne pourra s’étonner demain de la surenchère "d’attaques violentes contre les gays".
Cependant la libérale dit aussi que l’on peut exagérer concernant la lutte contre les discriminations pour raison d’orientations sexuelles diverses. Car, il y aurait des dérives dans les cours d’éducation sexuelle. Par exemple un enfant d’une douzaine d’années pourrait déjà découvrir les pratiques sexuelles telles que le sadomasochisme, mais aussi des phénomènes comme les clubs de rencontres (les « darkrooms -clubs de rencontre »font principalement références à des lieux pour gays où le sexe de groupe est pratiqué dans des lieux à l’éclairage très tamisé). De cette façon, la honte de rigueur apparaissant dans ces situations blesserait l’enfant dans le développement de sa personnalité, avertit Mme Gebauer.

Avec cette critique, elle se réfère aux matériaux pédagogiques didactiques d’éducation sexuelle- qui sont proposés sous le titre "l'école de la diversité" aux professeurs dans toute l’Allemagne. Cet éventail de matériels conçu par des pédagogues de la sexualité et des groupes homosexuels et lesbiens consistent en des jeux de rôles, des workshops et des lectures. Ils doivent servir l’objectif de renforcement du respect envers les orientations non-hétérosexuelles. En Westphalie Rhénanie du Nord, ces offres sont recommandées et soutenues par le ministère de l’éducation et par le mouvement "l'éducation homosexuel lesbien" ("SchLAu -Malin"). C’est d’abord hors de la NRW que certaines des idées proposées dans ces cours- là ont soulevé la critique.

Depuis 2014, la protestation de l'opposition conservatrice (CDU & FDP) s’est mis en place au Bade-Wurtemberg et à Hambourg contre des propositions tout à fait semblables en pédagogie sexuelle scolaire. Les partis conservateurs en Westphalie Rhénanie du Nord au contraire sont restés silencieux. Certains dans leurs rangs espéraient, comme ils le dirent officieusement, que la coalition des sociaux-démocrates et des Verts interviendrait certainement lors de la discussion nationale afin que les idées de cours les plus contestables ne soient pas mis en application en NRW – sans que CDU et FDP. ne doivent se brûler les doigts sur ce sujet délicat.Mais il en fut autrement. Sociaux-démocrates et verts ne se sont désolidarisés d’aucun des cours proposés par « l’école de la diversité ». Et c’est pour cette raison que dorénavant le FPD au moins ne peut plus rester sur la réserve. Il veut, le plus rapidement possible entamer des discussions avec le « SchLAu » afin de « les sensibiliser sur la problématique », comme le dit Mme Gebauer.

Les notions devraient être représentées par la pantomime.

Un projet est plus particulièrement critiqué, qui serait proposé aux enfants de la 7. Classe, soit des enfants de 12 à 13 ans. Sous le titre "débat ludique sur le sujet amour et sexualité", des listes de "notions sur le thème de l’amour, la sexualité et le couple" devraient être "représentées par les élèves par le biais de la pantomime". Les auteurs de ce projet en voient la valeur dans le fait que les élèves "puissent refléter et exprimer verbalement des notions tabouisées qui toutefois sont des thèmes qui les concernent fortement". Ainsi des thèmes tels qu’entre autres "darkrooms", "orgasme" ou "SM" - abréviation pour sadomasochisme, "touchants fortement" les jeunes d’une douzaine d’années, sont considérés comme "abordés trop tôt".

 

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