08.04.2016 - Der Spiegel hait les chrétiens !

« Le dangereux retour de la religion. Les abus de la foi », tel est le titre, insinuant que l’Allemagne et l’Europe tolérante sont en danger. Au milieu : une croix chrétienne ; à gauche l’État Islamique ! Donc la croix, mise en avant, serait plus dangereuse que l’État Islamique ! Et à droite Vladimir Poutine et le patriarche de l’Église Orthodoxe Russe Cyrille Ier. En haut Donald Trump…

Donc pour l’Europe tolérante, athée et de gauche le christianisme, spécialement orthodoxe russe, et Daesh présentent le même danger ! Nous pouvons conclure que sous prétexte de lutter contre le terrorisme, c’est la religion elle même qui est combattue et spécialement le christianisme… Le point positif c’est que l’Église Orthodoxe Russe a gagné assez de force pour inquiéter ceux qui veulent détruire la chrétienté et donner de l’espoir aux chrétiens qui résistent…

Lu sur L’observatoire de la christianophobie

 

LA PRESSE ALLEMANDE SUR LA SELLETTE ?

COMME EN FRANCE DE PLUS EN PLUS D’ALLEMANDS SE MÉFIENT DE LA PRESSE DE LEUR PAYS, UNE PRESSE EN PERTE DE VITESSE ET SURTOUT DE PRESTIGE. MENSONGES, MANQUE DE PLURALISME, CARENCES DANS LA VÉRIFICATION DES SOURCES, TOUS CES FACTEURS EXPLIQUENT LA BAISSE DE CONFIANCE DES LECTEURS.

La presse allemande jouissait depuis 1945 d’une réputation de sérieux et d’un prestige indéniables. Ce n’est pas que la concentration y fasse complètement défaut : on se rappellera du groupe de presse Springer, qui contrôle tout de même 180 journaux et magazines nationaux et régionaux, dont le fameux tabloïd Bild Zeitung, informant entre 20 et 25% des Allemands. Et on se souvient aussi de la vindicte que la gauche et l’extrême-gauche allemandes ont toujours vouée à Axel Springer (1912-1985), homme résolument conservateur voire réactionnaire, viscéralement anticommuniste et anti-intellectuel, vindicte qui a trouvé dans le fameux roman L’honneur perdu de Katharina Blum de Heinrich Böll et le film homonymes de Rainer-Werner Fassbinder son point culminant.

La majorité des journaux allemands reste cependant – à la différence de leurs homologues français – indépendants grâce à un électorat dispersé, à des tirages très supérieurs à ceux de la presse française et à de bons équilibres financiers. La presse allemande ne survit pas comme en France grâce aux seules subventions directes et indirectes des contribuables.

Et pourtant cela grince dans les chaumières des lecteurs depuis quelques temps déjà, et notamment depuis qu’une presse de réinformation, inégale mais de plus en plus audible, a fait son apparition notamment sur Internet. Le terme de « Lügenpresse » (presse mensongère), qui a été usité par tous les opposants aux régimes allemands en place depuis 1848, est revenu en force sur le devant de la scène. Et les journalistes pincés de rappeler que ce terme a « souvent été par le passé utilisé par les extrêmes » et de se défendre de tout manquement.

Mais qu’en est-il vraiment ? Pour en avoir le cœur net, le quotidien Die Zeit (« Le temps ») a fait réaliser, il y a quelques mois déjà, une enquête auprès du public par l’institut infratest dimap. Die Zeit n’est pas un des « trois grands » quotidiens allemands (qui sont FAZ, Die Welt et Süddeutsche Zeitung).

 

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