04.03.2016 - Comment guérir l’autisme

Contrairement au dogme officiel selon lequel l’autisme ne peut pas se guérir, mais dont on pourrait seulement envisager d’atténuer et/ou d’améliorer les comportements ou déficits qui y sont liés par des thérapies comportementales, les dernières recherches effectuées depuis quelques années démontrent sans aucun doute que l’autisme n’est pas une « maladie ou un trouble mental » mais bel et bien une maladie infectieuse et que les symptômes « mentaux » constatés ne sont que la conséquence de ces infections !

Petit rappel des principaux critères généralement admis pour définir l’autisme.

Il y a deux grandes formes d’autisme, en fonction de l’âge d’apparition des premiers symptômes et aussi de leur importance.

L’autisme dit de bas niveau ou autisme de Kanner, dans lequel il y a un retard important de développement, voire une impossibilité à acquérir un langage parlé et à le comprendre, et dont les premiers signes se manifestent le plus souvent dans les premiers mois puis se confirment par le retard de langage.

L’autisme dit de haut niveau, (dont relève aussi le syndrome d’Asperger), qui généralement manifeste ses premiers signes plus tard, et qui permet donc malgré tout, d’acquérir un langage quasi normal, et d’avoir même des compétences très pointues dans certains domaines spécifiques pour lesquels le sujet manifeste un intérêt parfois démesuré, pour ne pas dire obsessionnel.

Parmi les principales « anomalies » de développement que l’on peut relever et qui sont éminemment variables d’un sujet à l’autre, autant en nombre qu’en « intensité », on va trouver :

Une altération qualitative des interactions sociales :

  • altération marqués dans l’utilisation, pour réguler les interactions sociales, de comportements non verbaux multiples, tels que le contact oculaire, la mimique faciale, les postures corporelles, les gestes,
  • incapacité à établir des relations avec les pairs correspondant au niveau du développement,
  • le sujet ne cherche pas spontanément à partager ses plaisirs, ses intérêts ou ses réussites avec d’autres personnes (ex.: il ne cherche pas à montrer, à désigner du doigt ou à apporter les objets qui l’intéressent),
  • manque de réciprocité sociale ou émotionnelle

Une altération qualitative de la communication :

  • retard ou absence totale de développement du langage parlé (sans tentative de compensation par d’autres modes de communication, comme le geste ou la mimique),
  • chez les sujets maîtrisant assez le langage, incapacité marquée à engager ou soutenir une conversation avec autrui,
  • usage stéréotypé et répétitif du langage, ou langage idiosyncrasique (utilisation de néologismes, de mots, de phrases hors contexte par rapport à la situation du moment),
  • langage écholalique (tendance spontanée à répéter systématiquement tout ou partie des phrases de ses interlocuteurs en guise de réponse verbale)

Caractère restreint, répétitif et stéréotypé des comportements, des intérêts, des activités :

  • préoccupation circonscrite à un ou plusieurs centres d’intérêts stéréotypés et restreints, anormale soit dans son intensité, soit dans son orientation
  • adhésion apparemment inflexible à des habitudes ou à des rituels spécifiques et non fonctionnels
  • maniérismes moteurs stéréotypés et répétitifs (ex.: battements ou torsions des mains ou des doigts, mouvements complexes de tout le corps)
  • préoccupation persistante pour certaines parties des objets

 

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