Nouveaux éléments des preuves et des documents relatifs à la planification de la destruction de la Syrie par les États-Unis et la propagation de la confusion et de la déstabilisation du pays.
Les nouvelles révélations de Wikileaks n’ étonnent plus personne car le monde a pris conscience que l’Amérique a comploté aux chutes des régimes qui ne les obéissent pas , non seulement dans le cas de Syrie et du sabotage de son territoire, mais aussi dans d’autres pays arabes et du Moyen-Orient en général. Comme l’a justement souligné l’article pertinent d’ eldabil 15/09/21, il est un lieu commun que l’ingérence américaine dans les affaires des pays tiers, est basée sur les organisations terroristes qui sont soutenues pour briser l’unité arabe et pour perpétuer une controverse, un piège dans lequel sont déjà tombés plusieurs États.
Le nouveau document publié sur le site de «Wikileaks» datant de 2006 concerne un plan des États-Unis pour déstabiliser la Syrie et saper l’autorité du Président Bachar al-Assad.
Le document commence par l’expression « d’ une détresse des États-Unis à cause de la stabilité du régime syrien, et du fait que le Président syrien « Bachar al-Assad » est devenu « plus fort qu’il ne l’était avant deux ans », malgré l’ invasion américaine en Irak depuis trois ans. L Amérique prévoit de saper les régimes pro-iraniens comme la Syrie et le parti libanais du Hezbollah,pour favoriser l’entité sioniste.
Le document est délivré par l’ambassade américaine à Damas, et reconnaît la stabilité de l’État syrien, qui inquiète Washington. »Commençons donc à exploiter toutes les faiblesses de Damas ». Pour réaliser une occasion de faire pression sur Assad, et de briser la relation d’équilibre avec le Liban, ils utilisent l’assassinat du Premier ministre libanais Rafic Hariri en attribuant la responsabilité au gouvernement syrien.
Le document de Washington aurait insisté sur la nécessité de tirer profit de cette situation et exige qu’il y ait une annonce publique des résultats de la recherche et l’entrelacement d'Assad à l’ assassinat.
Un paragraphe du câble se réfère au Vice-président de la Syrie, Abdel-Halim Khaddam, qui aurait dit que « le gouvernement n’a pas de base populaire » tout en soulignant que » l’apparition du vice-président dans les médias dérange l’élite syrienne et Assad personnellement. » Le document stipule que «nous devons continuer à encourager l’Arabie Saoudite et d’autres partenaires pour propager dans les médias, en mettant en évidence le côté sombre du système. «
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