22.02.2016 - Le pape François doit s’occuper des croyants plutôt que des politiques d’immigration des pays souverains

Je ne suis pas catholique, pas plus d’ailleurs que croyant en tout autre dieu, même si, souvent, on me traite de sioniste parce que je suis assez admiratif d’Israël. Nul n’est parfait !

Mais je ne décolère pas depuis les sorties du pape François. Tout le monde à gauche le trouve sympathique et, pour ma part, je m’en tapais le coquillard allègrement. Mais là, j’avoue qu’il me gave sérieusement et particulièrement depuis ses réflexions sur Donald Trump. Je ne suis pas le seul si j’en crois Robert Ménard qui partage en partie mon opinion.

Voilà un Pape de gauche, élevé sans doute au biberon de l’évangile de la libération revendicative qui s’est développée en Amérique latine. L’Argentine, ce n’est pas le monde, et les invasions mexicaines qui déferlent sur les États-Unis ne sont pas celles qui arrivent à Lampedusa. En clair, si j’avais à choisir culturellement, entre les Mexicains et les Africains du Nord et du Sahel, mon choix serait vite fait. Il se trouve que le pape François n’envisage pas de mettre à son compte financier les millions de déserteurs-migrants à Rome, et encore moins à les prendre au Vatican.

Que fait-il? Son boulot, nous disent certains, à savoir donner la bonne parole chrétienne, celle de la charité, de la main tendue, de la compassion tous azimuts, etc. C’est facile, c’est socialiste, ça coûte pas cher, mais ça emmerde les budgets sociaux de tous. Parce que pendant qu’il fait des leçons de morale chrétienne, il ne sort pas un sou de sa poche. Tandis qu’il fait ses reproches à ceux qui sont en charge des réalités sociales et financières, des invasions, des budgets et doivent rendre des comptes à leurs citoyens, lui,  il voyage… Belle planque, finalement.

J’avais, au tout début de son accession à la papauté, de la sympathie pour le bonhomme, mais là j’avoue que ce pape me casse les pieds.

Pourquoi ne s’attaque-t-il pas à l’islamisme ? Pourquoi ne fait-il aucune remarque à ces roitelets du désert qui dépensent des fortunes pour faire la fête en France. Pour se faire soigner dans les hôpitaux chics de la capitale, picolent de l’alcool dans des tasses à thé du Lido et autres, se pavanent et s’envoient en l’air avec leurs esclaves sexuelles dans leurs palais en bord de mer ou dans les palaces parisiens.

Pourquoi ne dit-il rien sur les dépenses indécentes du Qatar pour avoir une équipe de foot si peu française, pour construire chez lui des stades à la sueur des esclaves philippins, monter des pistes de ski en plein désert à deux doigts des « morts de faim » de Somalie, d’Éthiopie et du Soudan.

 

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