20.02.2016 - Autriche : une fille de 15 ans victime d’un viol collectif à l’école, son enseignante a fermé les yeux

La ville de Graz, où les faits se sont produits, peut goûter aux « joies » de l’immigration.

Bienvenue dans votre nouvelle société, goyim.

Profitez-en.

The Independent :

La police autrichienne enquête sur une enseignante qui aurait ignoré les appels au secours d’une fille de 15 ans alors qu’elle subissait un viol collectif à l’école.

Six garçons, alors âgés de 15 et 16 ans, ont été inculpés pour l’attaque dans une école secondaire à Graz, et l’enquête se poursuit.

La race des violeurs criminels n’est pas précisée, mais à moins d’avoir fait Sciences Po, on comprend qu’il s’agit là de colons non-blancs.

Le journal Kleine Zeitung a rapporté que la victime a été violée dans la salle médicale en mai l’an dernier mais n’avait pas rapporté l’abus jusqu’à ce qu’elle se sente capable de se confier à un membre du personnel dans une nouvelle école.

Et l’article de la Kleine Zeitung précise, lui, que 5 des criminels étaient « d’origine africaine ». C’est fou comme les méchants racistes peuvent deviner ce genre de choses, non ?

L’enquête de la police a depuis révélé que ce ne fut pas la seule attaque contre la fille, qui aurait crié alors qu’elle était harcelée par le même groupe de garçons dans les toilettes de l’école seulement deux semaines avant le viol.

« Des élèves auraient alertés son enseignante et lui auraient demandé de faire quelque chose », rapporte la Kleine Zeitung.

« A la place, elle aurait blâmé la fille de 15 ans pour être arrivée en retard en cours. »

En plus de l’enseignante et des violeurs suspectés, l’enquête étudie le cas de 11 personnes pour complicité dans le crime ou non-assistance à personne en danger.

Ce nombre inclut un nombre non précisé de filles qui auraient regardé alors qu’elle était violée.

Époque amusante ! Vous avez raison, shiksa ! C’est si drôle de voir une autre fille subir un viol collectif par des hajis ! Vive le féminisme !

Pour moi l’une des plus grandes inconnues dans ce genre d’affaires, c’est l’apathie des proches de la victime. Comment le père ou le frère peuvent-ils tolérer cela en restant apathiques, pour au final voir – à tout les coups – les criminels faire 6 mois de prison avant d’obtenir une libération conditionnelle ? Pourquoi n’assument-ils pas leur tâche masculine de défense des femmes qui leur sont proches ?


Source : Blanche Europe, traduction depuis Daily Stormer

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