J'ai déjà dédié un billet aux délires féministes de Lise Payette. Vous vous souvenez? C'est lorsqu'elle nous a éclairé de sa grande sagesse pour nous expliquer la violence des hommes, dont TOUS les hommes sont responsables, et qui laissent à chaque semaine des cadavres d'enfants et de femmes sur les bords des routes et dans des boisés? Ne me dites pas que vous avez manqué ce grand moment?
Et voilà qu'elle s'y remet.
À ce qu'il paraît, Mme Payette a fait un passage marqué à l'émission TLMEP dimanche dernier. Elle y a multiplié les déclarations débiles:
«Je veux que les femmes s’unissent. Si elles comprenaient la force qu’elles représentent quand elles sont unies... Elles sont la plus importante partie des être humains québécois.»
Les femmes sont plus importantes que les hommes.
Tout simplement.
Quand je vous dis que le féminisme est carrément devenu un mouvement suprémaciste. En voici une preuve de plus.
«Nous exigeons que les partis politiques soient obligés d’avoir autant de femmes que d’hommes comme candidats. Et que le financement des partis soit lié au nombre de femmes élues.»
Oui, rien de plus important que les organes génitaux quand vient le temps de se choisir des représentants politiques. Toutes les autres considération sont secondaires. Et comme le disait l'autre jour cette autre grande féministe et ex-politicienne, Madeleine Albright: "Il y a un endroit spécial en enfer pour les femmes qui ne voteront pas pour Hillary Clinton!"
«On entend beaucoup qu’il faut que les femmes soient compétentes. Moi, j’éclate de rire. S’il fallait qu’on demande aux hommes d’être compétents avant d’être ministres, on ne serait pas sorti du bois...»
Personne ne dit que seules les femmes doivent être compétentes, vieille bique! Ce qu'on dit, c'est que la compétence d'un candidat ou d'une candidate devrait peser plus lourd dans la balance que le contenu de ses sous-vêtements! Est-ce si difficile à comprendre?
«Les femmes, même dans le gouvernement Trudeau, sont moins payées que les hommes. Elles occupent aussi des postes moins importants.»
Commentaires
Lucie Coffey (2014). L'effroyable imposture du féminisme. Kontre Culture.
Stuart Ewen (2014). La société de l'indécence. Publicité et génère de la société de consommation. Le retour aux sources.
C'est de la discrimination positive où les femmes sont élues en fonction de leur sexe plutôt qu'en fonction de leurs qualifications.
Je ne vois vraiment pas en quoi les femmes sont supérieures aux hommes. Elles sont aussi sinon plus dominatrices que les hommes dans un autre registre : le chantage sexuel et psychologique, la séduction et la fibre maternelle.Elle s sont favorisées dans un système dit démocratique où l'affection (la carotte) comme moyen de conditionnement a remplacé le fouet. Par la force des choses, n'ayant pas la force physique des hommes, elles ont dû inventer des moyens de domination plus subtils comme ceux énumérés ci-dessus.
Le futur de l'humanité est dans les mains de la femme ! Mon œil, je ne vois vraiment pas où la féminisation de la société peut sortir l'humanité de l'impasse où elle est plongée. En Occident, ce sont les femmes qui ont contribué à la décadence sociale par leur manque de virilité et leur sentimentalité débordante.
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