24.01.2016 - Les films récompensés par les oscars, si anti-blancs

Le drame #OscarsSoWhite (« les oscars si blancs ») continue à s’amplifier. Les médias ne semblent tout simplement pas vouloir arrêter d’en parler.

Bien que les talents d’acteurs soient essentiellement blancs, la plupart des films nominés – en fait, l’essentiel des films qu’Hollywood produit – promeuvent un agenda juif anti-blanc. C’est ce que nous allons voir ici en examinant ces fameux films.

Les acteurs nominés sont pour la plupart blancs, mais on trouve aussi quelques juifs (Jennifer Jason Leigh est juive par exemple), ces derniers n’étant pas blancs. En dehors des acteurs, on trouve par exemple un certain « Abrahamson » nominé.

Au delà de cela, Hollywood est surtout totalement contrôlé par les juifs. Tout les studios majeurs ont un chef juif, ce qui signifie qu’il est complètement impossible de produire un film à Hollywood sans approbation juive. [ndt : Le juif Joël Stein s’en était vanté dans un article célèbre du LA Times]

Mais en dépit de ce fait connu, les médias promeuvent une narrative selon laquelle Hollywood est contrôlé par les blancs et est utilisé pour faire du racisme contre les noirs.

La vérité est à peu près diamétralement opposée.


Les films

Le film le plus nominé, The Revenant, tourne autour de méchants colons blancs tuant d’innocents indiens. Leonardo DiCaprio, qui joue le rôle du pionnier Hugh Glass, a une femme indienne qui est tuée par de méchants blancs. Son fils métis est ensuite tué par un méchant blanc.

La vraie histoire de Hugh Glass implique une femme indienne, bien qu’elle n’ait pas été tuée par de méchants blancs. Il n’y a pas de trace d’un fils métis. Cela a été ajouté dans le film précisément pour créer une narrative anti-blanche, pour perpétuer la narrative du « génocide des indiens ».

Le film pourrait facilement avoir suivi la véritable histoire d’Hugh Glass, qui est assez intrigante en soi, mais il a plutôt été choisi de faire des altérations à l’histoire afin de promouvoir un agenda politique pro-métissage et anti-blanc. Le réalisateur, bien qu’il apparaisse être ethniquement espagnol, est de descendance mexicaine.

Mad Max : Fury Road, un film de science-fiction médiocre, a reçu le second nombre le plus élevé de nominations, et inclut des thèmes féministes. Comme nous le disons souvent ici, le féminisme est une idéologie anti-blanche par défaut, les blancs étant le seule groupe racial qui tombe au piège de cette idéologie juive trompeuse.

 

Lire la suite sur Blanche Europe, traduction depuis Daily Stormer

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