26.12.2015 - En Norvège, les migrants ont un cours spécial sur les femmes

[Note du Bonnet : les Norvégiens vont-ils enseigner à leurs allochtones leur histoire ? Vont-ils leur rappeler qu'ils sont les descendants d'impitoyables guerriers, d'intrépides marins et d'habiles commerçants ? Vont-ils leur montrer le superbe patrimoine dont ils ont hérité ? Vont-ils inspirer la fierté ?

... non bien entendu, tout cela n'est pas bien compatible avec le Grand Capital ! Apprenons plutôt à uriner assis et s'extasier devant le spectacle d'un phallus s'introduisant dans la fente d'un éphèbe !

Remarquez au passage toute la prétention de la féministe qui croit sincèrement pouvoir dompter une foule de mâles issus de cultures profondément patriarcales et suffisamment débrouillards pour fuir un pays en guerre et se farcir 4000 km au moyen de tous les moyens de transport possibles (nous ne remettons pas en cause la lâcheté d'une telle démarche) ... et ce, avec trois assistantes sociales qui rêvent sans nul doute de se faire emboutir par ces mêmes éphèbes, toutes blasées qu'elles sont devant leurs propres hommes découillonnés ! Les récentes mésaventures de leurs voisins suédois ne leur ont-elles donc rien appris ?

Le Grand Remplacement, tout en douceur, pour créer davantage de Breivik !]

La Norvège a mis en place un programme à destination des migrants de sexe masculin. L'objectif : leur apprendre les codes socio-culturels européens.

Un homme voit une femme en tenue légère boire de l’alcool et embrasser une autre personne dans un bar. En Norvège comme en France, cette scène est banale. Mais pour le migrant Abdu Osman Kelifa, seule les prostituées se comportent ainsi dans son pays, raconte-il à un journaliste du New York Times.

Cet homme a quitté l'Érythrée pour migrer au nord de l'Europe, en Norvège. Il a alors choisi de suivre un programme - controversé dans le pays - qui apprend aux hommes issus de cultures différentes et non occidentales les codes d’une société où les femmes ont le droit de s’habiller comme elles le souhaitent et de montrer des signes d’affection, le tout dans un lieu public.

 

Connaître la différence entre "le bien et le mal"

La plupart des pays européens ont renoncé à ces questions d’adaptation, souligne le New York Times. Par peur de stigmatiser les migrants comme violeurs potentiels et d'encourager les discours des politiques anti-immigration. Des activistes se sont alors emparés du sujet pour offrir des cours hebdomadaires, où les incriptions sont libres et basées sur le volontariat. Une initiative soutenue financièrement par le gouvernement norvégien et organisée par la fondation Alternative to Violence.

L’objectif est simple : faire en sorte que les participants « sachent au moins la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal », explique l’une des organisatrices du programme suivi par Abdu Osman Kelifa. Les élèves de ce projet reçoivent même un manuel dans lequel on peut lire que « forcer quelqu’un à avoir un rapport sexuel n’est pas autorisé en Norvège, même si vous êtes marié à cette personne ».

 

Lire la suite sur Madame Le Figaro

Ajouter un Commentaire

Veuillez noter que votre commentaire n'apparaîtra qu'après avoir été validé par un administrateur du site. Attention : Cet espace est réservé à la mise en perspective des articles et vidéos du site. Ne seront donc acceptés que les commentaires argumentés et constructifs rédigés dans un français correct. Aucune forme de haine ou de violence ne sera tolérée.


Code de sécurité
Rafraîchir