12.12.2015 - France : les Restos du Cœur refusent pour leur collecte des aliments contenant du porc

Oh je vois là les toujours sceptiques qui arrivent, ils ne croient qu’en ce qu’ils voient, et même lorsqu’ils le voient ils doutent, ou ils se persuadent que c’est faux. Ils défendent leur cause attaquant les fondements de la France, comme si leur idéologie néfaste était leur mère, ou plus encore, puisque la femme qui leur a donné la vie a été jetée depuis belle lurette à l’hospice par la belle âme progressiste.

Oui en effet, les Restos du Cœur malgré tous les démentis n’acceptent pas le porc comme si celui-ci n’était pas digeste ou appartenait aux aliments qu’on ne donne pas aux humains mais aux chiens. Près de 30 ans après la mort de son fondateur, cette noble cause n’est plus celle de ses origines, elle a été dévoyée, devenant que spectacle et promotion pour artistes sur le retour. Je ne dis pas qu’elle est néfaste mais elle n’apporte plus l’aumône à notre prochain qui a vraiment le ventre creux. Le prochain étant celui qui nous est proche, notre semblable, notre compatriote, le Français les poches vides.

Aujourd’hui, même pour les Restos du cœur seul compte l’autre, l’étranger, l’indésirable, celui qu’on ne veut pas et qu’on nous oblige à accueillir les bras ouverts, le sourire aux lèvres, puis le HLM  et la forte allocation.

Nos politiques publiques ont chassé les Français les vrais, des centres-villes, là où le travail prospère. Ils doivent faire place nette à cette immigration peu chère et malléable lui prenant son job, son logement, sa dignité, sa culture, ses rîtes, l’homme qu’il est dans son for intérieur. Nos compatriotes sont partis dans ce péri-urbain où l’emploi a totalement disparu, où on l’a précarisé, lui lançant ici où là un peu de revenu de subsistance qu’il a pourtant cotisé toute sa vie, comme s’il n’était plus rien, juste une statistique.

Cet homme devenant malgré un dur labeur un exclu d’une société qui ne veut plus de lui, étant tout juste bon à être éligible à la nouvelle version de la soupe populaire. Et même cela on lui refuse, étant aujourd’hui réservée à son colonisateur. Pour ce dernier, on fait excessivement attention à ce qu’il soit bien nourri, comprenez, il ne peut avoir au contraire du Français la peau sur les os, il doit être bien dodu et avoir bien mangé. On prend soin de lui, on ne lui donne pas la nourriture qu’il n’a pas le droit de consommer.

Seulement ce qu’on oublie, c’est que lorsqu’on a faim, il n’y a plus de religion, on prend ce qu’on trouve, quand on a faim et qu’on tend la main la moindre des choses est d’accepter ce qu’on nous donne. Mais ces gens se comportent et avec l’appui de nos élites mondialisées comme ce voisin sans gêne que l’on n’a pas invité, qui s’incruste, qui vous fait les poches, se sert dans la cuisine tel un goujat, porte vos vêtements, et demandera à coucher avec votre femme, peut-être même vous fera partir de votre propre maison pour y installer ses pieds dans vos pantoufles. C’est la tendance dans notre pays, une tendance prenant le pas sur le reste, ne s’arrêtant jamais. Le voulons-nous pour notre France ? Le peuple répond par la négative mais les élites mondialisées ayant le pouvoir le veulent. Ainsi qu’attendons-nous pour les supprimer avant qu’il ne soit trop tard ? Nos anciens par leur conviction ont soulevé les masses afin de déboulonner des régimes qu’ils pensaient spoliateur vis-à-vis du peuple. Mais le voulons-nous vraiment ? Auquel cas préparons-nous à mourir de ce petit feu, remplacés par cette immigration incontrôlée.

 

Source : La gauche m'a tuer

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