02.11.2015 - Violence domestique : le grand lavage de cerveau, selon Erin Pizzey

De nouveaux chiffres en Suisse le démontrent. Les hommes ne sont pas auteurs de 98% des violences domestiques, comme le prétendent les associations féministes. Ils sont aussi victimes. Dans des proportions très importantes depuis des années.

 

La violence n’a pas de sexe

Au point où l’on peut se demander aujourd’hui pourquoi rien n’a été entrepris à propos des hommes victimes. Un reportage de la télévision suisse romande le disait hier soir: un quart des violences domestiques est commis par des femmes ou des adolescentes (vidéo à la fin). 

Ce chiffre avait déjà été mentionné en août par GHI. La directrice de l’association Face à Face, qui reçoit en consultations des auteurs de violence, en témoigne. Madame Claudine Gachet suit ces situations depuis des années et en parle avec objectivité et honnêteté:

« La société doit accepter de changer le regard qu’elle porte sur les femmes et les mères en matière de violence. La violence n’est pas l’apanage d’un sexe ou d’une tranche d’âge, tout individu peut en effet être auteur de violence une fois dans sa vie à des échelles différentes. Reconnaître la violence commise par les femmes est une réelle nécessité dans la lutte contre la violence et sa transmission de génération en génération. »

 

Coups, insultes

Le gratuit genevois commence son article par cet exemple:

« Maria, 33 ans, mère de trois enfants – 2, 6 et 9 ans – a vécu une vie familiale bouleversée pendant plusieurs années. Cris, claques, coups faisaient partie de son quotidien. Mais ce n’était pas elle la victime. Non, c’était madame qui frappait, c’était madame qui blessait psychologiquement son mari, ses gosses. Parfois son époux se défendait et rendait les coups. (…) Son mari ne l’a jamais dénoncée à la police. Ses enfants accusaient les coups. »

On pense que les femmes ne frappent pas parce qu’elles sont moins fortes. C’est faux. En réalité leur moindre force est une arme car l’homme n’ose pas répondre aux coups. Peur de blesser, peur d’être ensuite présenté comme le seul auteur. Et les hommes n’ont pas de culture victimaire comme les femmes modernes l’ont développée sous l’influence de la littérature bourgeoise (p.e. Madame Bovary, de Flaubert et autres) ou du féminisme.

Les femmes dénigrent, insultent, crient, menacent, font du chantage, et cognent aussi ou jettent des objets. Quant aux adolescentes, elles deviennent de plus en plus violentes, agressives, injurieuses et vulgaires, traitant les garçons de tous les noms et s’insultant ou se cognant entre elles. Les petits frères peuvent devenir des souffre-douleurs.

Depuis 1971, et encore récemment en 2014, Erin Pizzey, féministe de la première heure qui a fondé le premier centre pour femmes battues en Angleterre, déclare que les féministes mentent sur la violence domestique et que les femmes sont aussi violentes que les hommes. Elle a été attaquée physiquement et menacée de mort à cause de cela.

 

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