31.10.2015 - Viols et migrants : le sujet tabou

C’est un sujet tabou et Le Peuple a hésité à rédiger cet article. Il faut cependant informer les citoyens des réalités, d’ailleurs compréhensibles, bien que totalement inexcusables.

Des centaines de milliers de jeunes hommes, en bonne forme physique, complètement désœuvrés et dont la culture traditionnelle méprise les femmes ou les considère comme inférieures, peuvent s’avérer très dangereux pour les rares femmes dans leur environnement d’une part, et d’autre part, pour les occidentales dont l’habillement montre leurs jambes, leurs cheveux et parfois plus. Leur habillement constitue littéralement un appel au viol pour des populations musulmanes arriérées d’Afghanistan ou du Pakistan, pour ne citer que celles-là.

Or, l’arrivée massive de migrants crée un problème explosif dans les concentrations de ces migrants économiques pour la plupart, venant du Moyen Orient ou d’Afrique subsaharienne.

La Suède, un des pays les plus touchés par la migration massive, à cause de la politique d’accueil développée par les gouvernements socialistes successifs, connaît aujourd’hui le taux de viols le plus élevé d’Europe. C’est un taux digne de celui de l’Afrique du Sud, un des pires du monde. Voir le tableau, ci-dessous, montrant que la Suède a un taux « africain » de viols !

Ce sujet est tabou en Suède, mais l’augmentation des viols est clairement à mettre en parallèle avec l’immigration massive, pour les raisons évoquées plus haut. Les chiffres sont comparables au Danemark.

Les premières victimes sont les femmes, migrantes elles aussi et fuyant souvent également les persécutions physiques et religieuses de groupes comme l’État Islamique en Syrie et en Irak. Les enfants sont également des victimes, ce qui est encore plus effrayant. Plus grands sont les camps, plus les femmes deviennent une espèce de gibier sexuel. Beaucoup se plaignent de devoir aller aux toilettes en groupe ou n’osent simplement pas y aller de nuit.

Ce problème est considéré, hélas, comme secondaire par les assistants sociaux qui tentent d’organiser le « vivre ensemble » au sein des camps et centres d’asile, d’abord et avec le voisinage local, ensuite.

Nous joignons quelques articles et preuves de ce que nous avançons. Les sources en suédois, danois, allemand,… sont très nombreuses et sont le fait de la presse « officielle » et considérée comme « respectable » par le monde politiquement correct qui fait la loi en Belgique.

 

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