26.10.2015 - La commission des droits des États-Unis oblige les employeurs à appliquer la charia

[Note du Bonnet : ce qui nous insupporte, c'est que ces deux musulmans se comportent comme des starlettes anglo-saxonnes protestantes en portant plainte, bardés d'une armée d'avocats, sans aucune cohérence avec la foi qui ne prêche pas la voie de la facilité. Entendez par là, la simple remigration vers une terre plus hospitalière aux coutumes islamiques. Mais bon, tant qu'on gagne, on joue, n'est-ce pas ?

Oui à l'américanisation de notre islamisation !]


La plupart des interprétations de la charia interdisent aux musulmans de consommer de l'alcool. Deux camionneurs musulmans ont fait valoir que cette interdiction les empêche de transporter de l'alcool, et ils ont eu gain de cause contre leur employeur qui les avait licenciés.
 

 

Autrement dit, les employeurs ont l'obligation juridique de prévenir le «péché».

 

Le résultat serait probablement le même au Canada. C'est l'application de la doctrine juridique de l'obligation d'accommodement raisonnable des croyances religieuses. Avec cette doctrine, les commissions des droits et les tribunaux exportent l'obscurantisme dans l'ensemble de la société.

 

(EEOC) CHICAGO - Un jury fédéral de Peoria, Illinois, a attribué 240.000 $ à deux musulmans Somaliens-Américains qui ont été renvoyés de leur emploi comme chauffeurs de camion chez Star Transport, une entreprise de camionnage, pour avoir refusé de transporter de l’alcool, ce qui, d’après la US Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) qui les représentait, violait leurs croyances religieuses.

 

Le procès a débuté le 19 octobre, et le jury a rendu son verdict le lendemain après 45 minutes de délibérations.

 

Le juge James E. Shadid, juge en chef de la Cour de district des États-Unis pour le district central de l'Illinois, a donné raison à l’EEOC après que Star Transport eut admis sa responsabilité en mars 2015. Le procès avait pour but de déterminer le montant des dommages compensatoires et punitifs ainsi que les arriérés de salaire. Le juge a accordé à Mahad Abass Mohamed et Abdkiarim Hassan Bulshale la somme de 20.000 $ chacun en dommages-intérêts compensatoires et 100.000 $ chacun en dommages-intérêts punitifs. De plus, il a accordé à chacun d’eux environ 1500 $ en arriérés de salaire.

 

Lire la suite sur Poste de veille, traduction depuis US Equal Employment Opportunity Commission

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