09.10.2015 - Méchant patriarcat : une agresseuse sexuelle échappe à la prison grâce… au père de la victime de 11 ans !

C’est aussi incroyable que ça en a l’air, et c’est en Grande-Bretagne que ça s’est passé.  Dans un monde où l’on ne cesse de dénombrer les cas d’abus sexuels commis par des femmes adultes sur des jeunes garçons, il vient de s’en trouver un où le père d’un gamin de 11 ans a jugé normal de prendre la défense de l’abuseuse.  Cette attitude est d’autant plus déconcertante que Jade Hatt, 21 ans, a eu une relation sexuelle complète avec sa victime alors qu’elle agissait auprès de lui en tant que gardienne. 

Un fait plus qu’inusité mérite d’être soulevé :  la femme et cet étrange père avaient été amants !  Est-ce en échange d’un futur retour d’ascenseur du genre paiement en nature que cet individu sans scrupule a préféré prendre la défense de son ancienne amante contre sa propre progéniture ?
 
 
 
Toujours est-il que grâce à cet irresponsable, un juge non moins inconscient, pour ne pas dire idiot, a renoncé à infliger à l’accusée une peine de prison ferme bien méritée et a préféré opter pour une sentence bonbon de six mois avec sursis et une inscription au registre des criminels sexuels pendant sept ans.   Des coups de pied au cul se perdent…
 

 

Les faits

 
« Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je suis une meilleure personne que ça », devait déclarer la pédophile.  Metronews rapporte ainsi les événements :
 
 
 
« Jade Hatt avait 20 ans quand les faits se sont déroulés, en novembre 2014. Alors qu'elle surveille l'enfant dont elle a la garde, la jeune femme décide, sous l'effet d'une pulsion selon ses dires, de se déshabiller, et d'en faire autant avec le jeune garçon. Là, les deux ont un rapport sexuel, qui durera moins d'une minute. Le garçon confessera par la suite ne pas avoir aimé ce rapport, parce qu'il savait "que c'était mal". »
 
 
 
Compte tenu de l'âge de la victime, de l’allure peu ragoutante de l’agresseuse (voir photo) et de la durée de l’agression, digne de figurer dans le Guinness des records sous la rubrique « viol le plus bref sur un jeune mineur », il y a tout lieu de croire en la sincérité du garçon quand il affirme ne pas avoir gardé de l'événement un souvenir enchanteur…  qui risque malgré tout d’être mémorable, au sens d’un traumatisme.
 
 
 
Mais voilà, la cour a vu en Jade Hatt une femme immature, donc pas tout à fait en mesure de répondre de ses actes… Imaginez un homme, lui aussi en situation d’autorité, du même âge, ayant abusé d’une fillette de 11 ans.  Croyez-vous qu’une cour quelconque se serait penchée avec compassion sur ses difficultés à gérer ses comportements sexuels ?


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