17.09.2015 - Le transgenre ? C’est dépassé ! Voici maintenant le « transhandicap »

Les idées ont des conséquences. Il fut un temps où nous comprenions cela.

Des exemples de cette vérité sont partout. Lorsque nous avons adopté le principe que l'enfant à naître dans l'utérus n'a pas de valeur, nous avons ensuite assisté à un massacre de grande ampleur, indépendamment du fait que ceux qui ont légiféré ce principe aient voulu que l’avortement soit « sûr, légal et rare ».

Lorsque nous avons admis le principe que l’union sexuelle n’a pas pour buts conjoints l’union et la procréation, alors, comme un écrivain l’a dit sèchement, la société a accepté que « tout orifice fera l’affaire ».

Lorsque nous avons accepté l’idée que la monogamie est obsolète et irréaliste, indépendamment de nos intentions, nous avons bientôt vu validées et glorifiées — et cela continue — un certain nombre de mises en couple bizarres, les « trouples » (ménages à trois) et les relations polyamoureuses.

De même, récemment, l’idée que la façon dont nous nous sentons devrait l'emporter sur ce que nous sommes a été mise en valeur sur la couverture de Vanity Fair avec Bruce Jenner se présentant comme son nouvel alter ego, Caitlyn Jenner.

Et les mêmes arguments sont maintenant utilisés par une communauté qui vient de commencer à faire entendre sa voix : les « transhandicapés ».

Le National Post a publié un article sur les « transhandicapés », commençant leur histoire avec le compte-rendu choquant d'un homme qui a intentionnellement coupé son bras droit. « Jason-n’a-q’une-main», comme il se nomme lui-même, n’est apparemment pas le seul. Citons le Post :

    « Nous définissons le “transhandicap [i]’’ comme le désir ou la nécessité d'une personne, identifiée comme valide par d'autres personnes, de transformer son corps pour obtenir une déficience physique », explique Alexandre Baril, un universitaire d’origine québécoise qui a présenté le « transhandicap » au Congrès des sciences sociales et humaines de l'Université d'Ottawa ...

    « La personne pourrait vouloir devenir sourde, aveugle, amputée, paraplégique. Il s’agit d’un désir vraiment très fort. »

 

Lire la suite sur Campagne Québec Vie, traduction depuis LifeSiteNews

Commentaires   

 
0 #2 Ray Y. Adamson 18-09-2015 12:35
C'est une pathologie aussi débile que celle de se croire femme enfermée dans le corps d'un homme, et de subir une ablation du pénis. Ces gens malades doivent être accompagnés et suivis pour maladie mentale, c'est vraiment désolant qu'on parle d'accepter des différences et qu'on crie à l'intolérance alors que ces gens souffrent réellement de délires.
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0 #1 Mike Deschamps 17-09-2015 08:09
La dégénérescence. ..
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