31.08.2015 - Criminalisation des manifestants et interdiction de protester contre l’invasion : l’Allemagne bascule dans la dictature

Des dizaines de policiers dépêchés pour empêcher les Allemands de s’exprimer

Il y a quelques jours, la venue d’Angela Merkel à Heidenau, petite ville de Saxe cristallise depuis quelques jours l’attention des médiats sur la question de l’invasion, a provoqué une manifestation d’Allemands opposés à la destruction de leur identité.

Le rassemblement a été totalement pacifique. Il n’y a eu aucun débordement et, malgré les provocations policières et de leurs alliés antifas, il n’y a eu aucune violence ni aucune interpellation, les agents du système n’arrivant pas même à inventer un faux délit. Pourtant, le ministère allemand de l’Intérieur a annoncé le déploiement d’importantes forces de sécurité dans le but à peine caché d’empêcher les Allemands de manifester.

Les Allemands réclament le respect de leur identité, de leur volonté et leur rejet de voir un centre pour colons être implanté dans cette petite ville.

Manifestation interdite pour les Allemands, autorisée pour le patronat et les antifas

Cette annonce a été publiée alors que le gouvernement provincial a interdit tous les rassemblements à Heidenau à partir de vendredi. Il s’agissait pour les autorités d’occupation d’interdire les rassemblements patriotes, et uniquement ceux-là, mais s’ils avaient été ciblés, la mesure aurait été considérée comme inconstitutionnelle.

Elle l’a d’ailleurs été. La justice d’occupation a, dans un premier temps, invalidé l’interdiction de manifester à partir de vendredi – ce qui a permis à une manifestation pro-invasion de se dérouler – avant, dans la foulée, de la valider et d’en exclure… la manifestation patronat-antifasciste qui était donc « légale ». Pourtant, le motif officiel avancé par les autorités était qu’elles ne pouvaient assurer la sécurité des manifestants – alors même que d’importants renforts ont été dépêchés sur place. Un mensonge clair et évident validé par la « justice » complice.

Les antifascistes défilent pour le patronat, sous la protection de la police

La racaille antifasciste et divers colons – comme le coprésident du groupe anti-écologique dit Les Verts, le Turc Cem Ozdemir – ont donc pu organiser une « fête de bienvenue » aux envahisseurs, avec le soutien du grand patronat et du gouvernement mondialiste. Les mêmes – loges maçonniques, églises conciliaires, syndicats patronaux, colons et antifas – se retrouveront samedi à Dresde pour renouveler leurs appels à la submersion de l’Allemagne.

Mais comme les fois précédentes, le rassemblement a été un échec total. Seuls quelques individus ont répondu présents – à comparer aux centaines d’Allemands qui ont défié la chancelière Angela Merkel lors d’une manifestation improvisée. La presse aux ordres, habituée à grossir les chiffres a été contrainte à n’évoquer que quelques « dizaines de militants » formant un « petit cortège ».

Comme l’a noté la même presse du régime, les antifascistes, répondant à l’appel du grand patronat avide de main-d’œuvre bon marché ont marché « encadrés par des policiers antiémeutes ».

Les manifestants criminalisés

Dans ce contexte, la justice d’occupation n’a pas craint – elle qui poursuit si peu les tueurs d’Allemands et violeurs d’enfants allemands étrangers – d’annoncer l’ouverture d’une enquête judiciaire à propos… d’une insulte qui aurait été lancée contre Angela Merkel.

L’ancienne (?) cadre du Parti communiste est-allemand aurait été qualifiée de « salope » par une manifestante. Cette dernière a été identifiée et fait l’objet d’intenses recherches policières.

La police prétend que traiter de « salope » une traîtresse à un peuple qui prostitue et vend son pays à l’invasion serait une « diffamation envers les organes constitutionnels ». Cela ressemble plutôt à un euphémisme.

 

Source : Jeune Nation

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