21.07.2015 - France : la guerre est déclarée ! 17 gendarmeries et commissariats attaqués en juillet. En toute impunité

À Dinan, samedi, une bande de 30 jeunes (vous aurez compris de qui il s’agit, même au cœur de la Bretagne) a pris d’assaut la gendarmerie transformée en camp retranché. Rien que dans les 15 premiers jours de juillet, ce sont 17 commissariats et gendarmeries qui ont subi les attaques de sauvageons. À coups de mortiers, de cocktails Molotov, de fusils à plomb, de pierres. Rien qu’aux Ulis, le commissariat a été assailli trois fois. À Neuilly-Plaisance, cent jeunes ont assiégé le local de la police municipale.

Ainsi, en France, gendarmes et policiers sont régulièrement insultés, pris à partie, agressés par des jeunes, souvent très jeunes, sans réaction et en toute impunité puisqu’ils savent qu’en cas d’interpellations, la justice s’empressera de les remettre dans la rue. Même nos valeureux pompiers qui ont choisi de mettre leur vie en danger pour en sauver d’autres sont l’objet d’attaques commandos, souvent même d’embuscades. Il arrive fréquemment dans nos cités que des jeunes incendient qui une poubelle, qui la voiture d’un voisin, appellent le « 18 » pour caillasser, dès leur arrivée, les soldats du feu. Aux États-Unis, de tels actes sont considérés comme criminels et conduisent leurs auteurs tout droit en prison pour quelques années de réflexion, histoire de leur apprendre qu’on ne s’attaque pas impunément à ceux dont la devise est « sauver ou périr ». Il leur faut du cran pour respecter leur autre devise, « courage et dévouement », car ils savent qu’appelés dans ces cités, ils auront à faire face à la haine brutale de ces jeunes Français de papier que la justice excuse sous prétexte que l’État ne leur a offert ni travail, ni éducation.

Car ces jeunes sont souvent issus d’une immigration de deux ou trois générations, parfois de double nationalité, qui n’ont pas spécialement demandé à être Français et dont ils n’ont pas adopté mais adapté la langue à leur culture. Se glissent parmi eux quelques poignées de Français de souche dont les parents ont eu le malheur de devoir rester dans ce qui, désormais, porte le nom faussement rassurant de « quartier ».

Et que je t’insulte, que je te caillasse, que je te menace, que je brûle ta voiture de police.

 

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