BREIZATAO – KOMZOU DIEUB (28/06/2015) L’annonce d’une manifestation d’opposition à l’islamisme mardi prochain à Quimper a suscité un appel à contre-manifester de la part d’éléments marxistes isolés. Quoique insignifiant, cet appel reflète la mutation de la gauche française en une gauche islamique, vitrine politique de l’invasion de l’Europe par les masses afro-musulmanes.
L’antiracisme comme lien entre trotskystes et sociale-démocratie atlantiste
Ce phénomène est très peu commenté et étudié. Il est vrai que les “sociologues” et “politologues”, traditionnellement issus de la gauche intellectuelle – marxiste ou non – sont rarement outillés conceptuellement pour réaliser une telle étude critique.
De fait, cette mutation est essentiellement le fruit de la démographie et de l’opportunisme, mais pas seulement. La colonisation de l’Europe par le lumpenproletariat afro-islamique suscite naturellement le rejet des classes populaires et moyennes blanches. Ces dernières, progressivement précarisées socialement, économiquement et identitairement par ce processus de remplacement de population, adoptent une position politique de défense.
Au début de ce phénomène, la gauche communiste pro-soviétique a dans un premier temps compris le danger que représentait électoralement cette inflation allogène. Le “camarade” George Marchais avait ainsi tenté, avec lucidité, de s’opposer à cette politique, de peur de voir la classe ouvrière se tourner vers une force politique alternative qui s’oppose à cette colonisation.
En vain : le programme commun de 1981 a imposé au PCF la ligne immigrationniste et antiraciste du Parti Socialiste Français dont l’officine SOS Racisme fut le bras armé, créée dans un bureau de l’Elysée par Jacques Attali et quelques comparses séfarades et ashkénazes issus du trotskysme tel Julien Dray.
Depuis lors, la classe ouvrière a été abandonnée et niée dans ses spécificités culturelles et sociales au profit d’un sans-papiérisme radical. Si cela satisfait les rédactions des journaux gouvernementaux où pullulent les sympathisants d’extrême-gauche comme les bourgeois humanitaires – sous l’oeil approbateur du grand actionnariat – tel n’est pas le cas dans les cités où le prolétariat blanc affronte la fracture raciale et religieuse induite par l’immigration afro-musulmane.
L’extrême-gauche trotskyste, essentiellement hantée par des juifs d’Europe de l’Est, n’a jamais porté d’intérêt à la condition de l’ouvrier blanc. Ce dernier ne fut jamais qu’un matériau à utiliser dans le cadre de la révolution permanente. Aussi, sans difficulté aucune, les trotskystes ont-ils opté à partir des années 70 pour l’opportunisme antiraciste et ceci avec d’autant plus d’acharnement que la haine envers la classe ouvrière blanche est une constante au sein cette mouvance groupusculaire de coloration sémitique. Le refus de la classe ouvrière blanche de valider cette politique nihiliste attisa encore plus la haine de l’extrême-gauche à son endroit.
Sans surprise, le parti que la mouvance trotskyste et/ou anarchiste honnit le plus est le Front National, précisément parce qu’il coagule le vote ouvrier qui jadis votait pour le PC stalinien.
Notons d’ailleurs que dès la Seconde Guerre Mondiale, la CIA entreprit d’utiliser les réseaux trotskystes contre le PCF en prévision de l’affrontement contre l’URSS après la défaite de l’Allemagne. Un de ces exemples est l’action de Force Ouvrière contre la CGT, pilotée depuis Washington.
Il n’est pas inutile de rappeler que le FN adopte désormais une ligne pro-russe, face à un PS atlantiste dont l’extrême-gauche trotskyste est l’idiote utile, exactement comme lors de la Guerre Froide.
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