Il manque un milliard de dollars au Fonds souverain malais ; une erreur des banques Goldman Sachs et Rothschild. S’il s’agissait de petites banques, leurs dirigeants seraient en prison. Mais celles-ci sont coutumières du fait et vous présentent leurs excuses.
On a découvert des transactions irrégulières à hauteur de cinq milliards de dollars, et un réseau de blanchiment d’argent dans dix pays, qui impliquent les banques d’investissement censées être au-dessus de tout soupçon Goldman Sachs et Rothschild, le tout dans une opération frauduleuse contre IMDB, le fonds souverain malais, et cela a secoué le monde financier, depuis les USA jusqu’à Singapour, en passant par la Suisse.
Les fonds vautour, sur lesquels règne l’Israélo-américain Paul Singer, qui ont dépecé l’Argentine, s’intéressent maintenant au Mexique, qui possède naïvement des bons Texcoco fournis par le couple apatride Videgaray/Peña.
Le site Bloomberg revient sur l’histoire de IMDB de Malaisie, le scandale qui a secoué le monde de la finance.
La banque Rohschild AG a —dit-on— sérieusement rompu avec les règles du blanchiment d’argent dans sa pratique corruptrice en Malaisie, qui a piégé les prêteurs dans le monde entier.
Bizarrement, le régulateur financier suisse Finma, qui doit encore à l’opinion publique mexicaine la liste des fraudeurs du fisc à très grande échelle du Mexique néolibéral mis à nu par les HSBC Papers, Panama Papers et Bahamas Leaks — ne signale pas de relation commerciale significative de la banque Rothschild avec un certains client « qu’on ne saurait nommer » dans le blanchiment d’argent.
Question idiote : qui peut bien être ce client secret ? George Soros, le philanthrope partenaire des banquiers Rothschild ? Est-ce que Soros est un blanchisseur, alors que l’un de ses pantins littéraires, Mario Vargas Llosa le romancier péruvien, s’est retrouvé exposé dans les pestilentiels Panamá Papers ? Mario Vargas Llosa, avec ses deux alliés narco-littéraires au Mexique, a défendu férocement la CEU (l’Université d’Europe Centrale) fondée par Soros à Budapest, où il apporte la peste.
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