Le bras de fer se poursuit entre les acteurs du réseau scolaire concernant l’éducation à la sexualité, que des profs menacent de boycotter s’ils sont forcés de l’enseigner, alors que le ministre demande davantage de « souplesse » aux directions d’école.
Le Journal rapportait en début de semaine que l’implantation de l’éducation à la sexualité progresse moins rapidement que prévu à certains endroits, en raison du manque de profs volontaires pour l’enseigner.
Des commissions scolaires affirment qu’elles ne parviendront pas à enseigner les cinq à 15 heures de contenu obligatoire cette année, de la première année du primaire à la fin du secondaire.
Dans une missive transmise au réseau scolaire mercredi, dont Le Journal a obtenu copie, le ministre Jean-François Roberge rappelle à quel point ces notions sont « primordiales pour nos jeunes ».
Il souligne que les enseignants sont des « acteurs clés » pour le succès de cet enseignement, tout en invitant les dirigeants à « faire preuve de souplesse » et à recourir, au besoin, à des intervenants externes pour y arriver.
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