François Legault a donné le coup d’envoi mercredi à un « redressement national » en éducation, y voyant une façon d’assurer l’« avenir de la nation québécoise ». Le premier ministre a autrement mis en garde contre « la peur du changement ».
« C‘est par l’éducation que le Québec a réussi à rattraper son retard, dans les années 1960. C’est encore par l’éducation qu’on va réussir à relever les défis qui nous attendent », a-t-il fait valoir dans son discours d’ouverture devant l’Assemblée nationale.
Prônant un « nationalisme rassembleur », M. Legault a chargé ses 26 ministres « d’assurer le développement économique de la nation québécoise à l’intérieur du Canada, tout en défendant avec fierté son autonomie, sa langue, ses valeurs et sa culture ».
Curieusement, le thème de la culture a été pratiquement occulté du discours d’ouverture de la session parlementaire du premier ministre. La culture représente « l’âme d’un peuple », quelque chose qui « nous rend fiers », a-t-il dit. Mais, pour cet « important moteur économique », point d’engagement.
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