28.11.2018 - En Alberta, les écoles chrétiennes menacées par le ministre David Eggen, sectateur de la sexualisation des enfants

La victoire de 2015 en Alberta des socialistes du NPD (Nouveau parti démocratique) sur les conservateurs qui traditionnellement dirigeaient la richissime province pétrolière canadienne, a une conséquence directe sur la politique éducative : la chasse aux écoles chrétiennes. Le gouvernement provincial dirigé par Rachel Notley, issue d’une vieille famille socialiste, avec son ministre de l’Education David Eggen, vient d’imposer un choix cornélien aux écoles confessionnelles : soit elles renoncent à être chrétiennes et à enseigner la parole de Dieu et la morale naturelle, soit elles seront privées de conventionnement et potentiellement fermées. Et comme toutes ces écoles reçoivent des subventions du gouvernement provincial, il est probable que les idéologues du genre et les sectateurs de la sexualisation contre-nature des enfants qui gouvernent l’administration de l’Education réussiront leur coup, sauf mobilisation massive du public.
 

En Alberta, David Eggen furieux militant des « nouvelles » identités sexuelles

Le ministre de l’Education de l’Alberta – ce secteur relève au Canada des compétences des provinces fédérées – est un certain David Eggen, enseignant socialiste et furieux militant des « nouvelles » identités sexuelles. Déjà l’année dernière, explique le journaliste Alex Newman, « les persécutions de Big Brother contre les écoles chrétiennes et les familles » s’étaient déchaînées. « Les fonctionnaires provinciaux de l’endoctrinement harcelaient les écoles pour qu’elles promeuvent l’homosexualité, la sodomie, la confusion des genres, la fornication, la masturbation et tout le reste, en violation des enseignements chrétiens », rapporte Newman. Quand les écoles résistaient, « les caciques délirants de l’éducation explosaient de rage ». « Aujourd’hui, ils vont plus loin », dénonce Newman, alors qu’aux élections de 2015 le NPD n’a remporté la majorité des sièges au Conseil législatif d’Alberta qu’avec une nette minorité de voix (40,57%). Les socialistes avaient bénéficié, grâce au scrutin uninominal de circonscription à un tour, de la division de la droite entre le parti conservateur et la droite provinciale plus radicale du parti Wildrose qui, à eux deux, avaient totalisé 52,03% des voix.

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