Son PDG, Mark Zuckerberg, était attendu de pied ferme à Londres pour parler fausses nouvelles et désinformation.
Le président-directeur général de Facebook, Mark Zuckerberg, brillait par son absence, mardi, au parlement britannique, alors que se déroulait une audience internationale portant sur la désinformation et la diffusion de fausses nouvelles sur le réseau socionumérique. C'est finalement son vice-président chargé des politiques publiques, Richard Allen, qui a affronté la tempête.
Rappelons que le géant numérique est actuellement dans une mauvaise passe. Cette situation résulte des doutes soulevés en lien avec l'utilisation malveillante de la plateforme en ligne aux élections américaines de 2016 et lors du vote sur le Brexit au Royaume-Uni.
Facebook reconnaît ses torts... encore une fois
Malmené par des parlementaires issus de sept pays différents, dont le Canada, et venus à la rencontre du grand patron de Facebook, M. Allen a préféré jouer du violon dans une tentative visant à défendre l'entreprise.
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