25.11.2018 - L'extrême gauche semble être protégée par la direction de l'UQAM

Plusieurs pistes indiquent que les rouages administratifs et le corps enseignant encouragent cette infiltration généralisée.

Des groupuscules faisant la promotion du marxisme-léninisme le plus dogmatique, ou s'adonnant à la violence en bandes organisées, tiennent régulièrement des réunions dans les locaux de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Nous avions, afin de joindre l'utile à l'agréable, mandaté un membre de notre secrétariat de rédaction pour se rendre à une réunion qui se tenait au Local A-M050, le 10 octobre dernier.

Une extrême gauche qui fait la promotion de la violence

Il s'agissait d'une conférence-discussion organisée par La Riposte socialiste, une succursale de l'organisme d'extrême gauche Fighback, dont le centre névralgique est situé à Toronto. Cet organisme soutient activement toute la mouvance antifa et les exactions qui ont eu lieu à plusieurs reprises contre des patriotes qui manifestaient pour la défense du fait français, la protection des frontières ou pour plus de justice sociale.

Qualifiant tous les militants nationalistes de « fascistes », faisant partie d'une extrême droite fantasmée, les membres de La Riposte socialiste et des autres mouvances marxistes-léninistes appellent au regroupement des forces vives étudiantes et syndicales afin de faire violence aux « fascistes » en leur interdisant l'accès à la rue, quand ce n'est pas aux locaux des institutions d'enseignement.

Une logistique dédiée à la censure

Toute cette censure gauchiste s'appuie sur un vaste réseau d'infrastructures et de militants pour organiser ses quartiers généraux. Denise Bombardier, dans une chronique publiée le 25 février 2015, à la suite des émeutes qui avaient forcé l'escouade anti-émeute à intervenir à l'UQAM, a dressé un portrait éloquent de l'état des lieux.

Ainsi, elle s'étonnait que les autorités responsables des lieux ne réagissent pas face à « des étudiants, masqués parfois, qui surgissent dans les salles de cours pour expulser enseignants et étudiants, qui abîment et détruisent le mobilier, qui espionnent des professeurs, les dénoncent publiquement sur les réseaux sociaux, qui lancent de prétendues fatwas contre des professeurs qui ne sont pas leurs amis, c'est-à-dire qui ne partagent ni leur rage ni leur haine du système qu'ils veulent détruire ».

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