24.11.2018 - Un livre fait le point sur la vision du monde de George Soros

Note du Bonnet : L’auteur de l'article ne mentionne la judaïté de George Soros, qui est essentielle pour comprendre les motivations l’activiste milliardaire. Qui dit judaïsme, dit messianisme. Selon la théologie juive, l’arrivée du Messie sur terre ne peut se faire que dans un monde de paix sans frontières, où le noachisme est la religion révélée pour tous les goys.  Quand Soros finance le départ des populations du sud, comme certains autres juifs il précipite l’avènement du messianisme comme principe d’un Nouvel Ordre Mondial (voir les travaux de Pierre Hillard).

Le journaliste Pierre-Antoine Plaquevent signe un ouvrage qui nous aide à comprendre les motivations du célèbre financier.

Le multimilliardaire George Soros et son Open Society attirent l'attention d'un nombre grandissant d'observateurs provenant de toutes les tendances politiques. On reproche à ce spéculateur d'utiliser sa fortune considérable, que certains évaluent à plus de 30 milliards de dollars US, afin de financer une pléthore d'organisations non gouvernementales (ONG) qui font la promotion de l'immigration de masse ou de l'abolition des frontières.

Une société-écran tentaculaire

Gérant le Soros Fund Management, basé à New York, ce financier d'origine hongroise a fondé l'Open Society Institute qui a été transformé, en 2010, en ces fameuses Open Society Foundations (OSF) dont il préside aux destinées. Wikipedia souligne que « l'OSF inscrit à l'origine son activité dans la lutte contre les discriminations, les droits des minorités et le droit à l'éducation ».

Un monde sans frontières

George Soros est un disciple de Karl Popper, un philosophe américain qui a lancé le concept d'« Open society », en prônant l'établissement d'un monde sans frontières où l'humanité pourrait s'épanouir, enfin délivrée du poids des conventions, de la morale ou de la permanence des cultures. Les idées de Karl Popper et ce qu'il est convenu d'appeler le « marxisme culturel » (Note du Bonnet : Le « marxisme culturel » est un terme abusif né dans le monde libéral anglo-saxon. Il s’agit d’associer Marx (qui ne se revendiquait pas marxiste), ennemi du libéralisme américain par sa critique sur le capitalisme, à une mouvance progressiste. Au-delà de Popper, l’idée d’un monde sans frontière et la dissolution des cultures, des mœurs et des traditions, prend naissance dans la philosophie des Lumières. C’est plus précisemment dans la franc-maconnerie adogmatique et libérale ainsi que dans l’illuminisme d’Adam Weishaupt que prend forme le concept le concept de « l’homme nouveau ». Ses idées seront reprises par tous les tenants des révolutions au cours des siècles suivants (Révolution Française, Révolution Bolchévique…etc..) puis par les partisans du communisme, puis enfin du progressisme.) ont permis à George Soros de broder un véritable plan de subversion à l'échelle planétaire afin de pouvoir dissoudre tout ce qui pouvait constituer les contours d'une nation : frontières, culture et langue dominantes, mœurs, traditions, etc.

Financer la subversion

George Soros et son réseau des Open Society Foundations (OSF) ont déjà été pris la main dans le sac à financer plus de 50 organisations qui avaient appelé à manifester contre Donald Trump lors de la Women's March du 21 janvier 2017. D'ailleurs, l'organisme Wikileaks a révélé, à la même époque, que l'organisation MoveOn.org, un des principaux moteurs de contestation contre l'administration Trump, avait aussi bénéficié d'importantes contributions provenant de l'OSF.

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