Un groupe de pression impose une politique qui permettra aux étudiants de changer leur pronom à leur guise.
Les groupes de pression ont la vie belle à l'UQAM, une université qui favorise la diversité au point où les théories du genre font, désormais, partie des politiques administratives de l'établissement scolaire. Il est donc question d'y mettre de l'avant une politique d'utilisation des prénoms qui soit plus « inclusive et neutre », selon ce que confiait au quotidien La Presse une des porte-paroles de l'université.
L'identité devient malléable et changeante
Jenny Desrochers confirme que les étudiants de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) pourront, désormais, opter pour le prénom de leur choix et leurs professeurs devront s'adapter au changement. Cette nouvelle politique d'utilisation des prénoms vient tout juste d'être adoptée par l'université afin d'agréer aux requêtes d'un groupe qui fait la promotion de la « diversité sexuelle » au sein de cette maison d'enseignement.
Des démarches administratives tordues
C'est donc au nom de l'expression des identités de genre, dans un contexte d'inclusion et de pluralité à tous crins, que l'UQAM vient d'adopter cette nouvelle politique qui risque d'alourdir les démarches administratives et de compliquer la vie des professeurs.
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