L'administration Plante prône la création d'un poste de commissaire-inspecteur de la diversité doté de pouvoirs coercitifs.
Il semblerait que les recommandations des membres de la Table de la diversité, l'inclusion et la lutte contre les discriminations aient trouvé une oreille attentive auprès de la mairesse Valérie Plante et du Comité exécutif de la Ville de Montréal. Cet organisme, créé par la même administration en mars dernier, souhaite que les membres issus des minorités visibles soient mieux représentés au sein des hautes sphères de l'administration municipale.
Par-delà la discrimination positive
C'est ce qui explique toute cette pression auprès de l'administration Plante pour que soient implantés des mécanismes de renforcement et de conditionnement afin d'augmenter l'efficacité des politiques de discriminations positives qui, pourtant, pèsent lourd dans le processus de dotation de la municipalité.
La sociologue Myrlande Pierre, présidente de cette Table sur la diversité, selon ce que rapportait Le Devoir, dans son édition du 1er novembre, estime que la création d'un poste de commissaire-inspecteur de la diversité permettrait de « regarder comment la Ville s'emploie à diffuser et à faire connaître les opportunités d'emplois et voir si on rejoint suffisamment les personnes racisées ».
Lire la suite sur le-peuple.ca