31.10.2018 - « N'ayons pas peur des mots. C'était un attentat politique »

Le chef intérimaire du PQ, Pascal Bérubé, réagit avec force aux derniers rebondissements dans l'affaire Richard Henry Bain.

« N'ayons pas peur des mots. C'était un attentat politique. Il [souhaitait] tuer la Première ministre indépendantiste du Québec ». C'est ce que le chef par intérim du Parti québécois (PQ), Pascal Bérubé, a publié sur Twitter à propos de Richard Henri Bain, l'homme derrière l'attentat qui a eu lieu au Métropolis lors des célébrations de la victoire du PQ aux élections générales de 2012 au Québec.

M. Bain, reconnu coupable du meurtre non prémédité d'un technicien de scène et de trois tentatives de meurtre, était en Cour d'appel du Québec, mardi, dans le but de réduire le temps qu'il devra purger avant de pouvoir faire une demande de libération conditionnelle. Les cinq juges appelés à se prononcer ont finalement mis la cause en délibéré.

Une interprétation différente des faits selon de quel côté on campe

Pour l'avocat de la défense dans ce dossier, Me Alan Guttman, la peine infligée au tireur est trop sévère. Rappelant que son client est « un homme qui en 62 ans n'a jamais fait aucun crime », il estime que « vingt ans pour une personne comme Richard Henry Bain, c'est juste parce que c'était politique ».

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Commentaires   

 
0 #1 Ariel B 31-10-2018 17:56
est-ce le meme avocat de Montréal Alan Gutman qui a défrayé les manchettes il y a quelques années?...
https://www.tvanouvelles.ca/2001/02/22/lavocat-alan-guttman-acquitte

Ressemblant...
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