14.10.2018 - L'influence de Soros sur la Commission des droits de la personne

L'un des récents présidents de la Commission a travaillé pour l'organisme Open Society Foundations de George Soros.

La Commission des droits de la personne du Québec a eu un rôle prépondérant durant la saga entourant le projet de la Charte des valeurs du Québec, à l’époque du gouvernement Marois élu en 2012. Et, ses nombreux avis juridiques ont été déterminants pour ce qui est de mettre en déroute ce projet de loi qui était piloté par le ministre Bernard Drainville.

Une opposition frontale au projet de Drainville

Radio-Canada nous rappelait que, déjà en octobre 2013, cet organisme considérait que plusieurs propositions du projet de Charte des valeurs du gouvernement Marois étaient susceptibles de mettre en péril les droits et libertés de la population concernée.

Les principaux intéressés estimaient que l’interdiction du port de signes religieux par les employés de l’État lors de leurs fonctions ne passait « pas le test » de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec.

Son président de l'époque, Jacques Frémont, avait été jusqu’à dire que les dispositions de ce projet de charte des valeurs étaient « en nette rupture avec la Charte [des droits et libertés de la personne], cette loi quasi constitutionnelle adoptée par l’Assemblée nationale en 1975 ».

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