28.09.2018 - Bracelets d’identification asexués dans un hôpital pédiatrique du Colorado : nouvelle victoire du lobby transgenre

L’hôpital pour enfants d’Aurora, dans le Colorado aux Etats-Unis, vient de rendre publique sa décision de ne plus faire figurer le sexe des petits patients sur les bracelets d’identification qui leur sont remis, dans le but avoué d’apporter un soutien visible aux enfants qui se disent « transgenre ». Cet établissement pédiatrique veut se mettre à l’heure du respect de « l’identité de genre unique » de ceux qui ne se reconnaissent pas comme appartenant à leur propre sexe biologique. Qu’à cela ne tienne, ils seront asexués, au moins à leurs propres yeux. Le lobby transgenre a encore frappé
 
Nouvelle victoire du politiquement correct, la démarche répond à l’inflation de la confusion parmi les mineurs. Une porte-parole du Colorado Children’s Hospital, le Dr Natalie Nokoff, qui s’est fait une spécialité du traitement des patients se revendiquant « transgenre », a indiqué à la presse : « Nous voyons de plus en plus de patients qui ont des identités de genre diverses » – diverses au sens où elles ne sont pas conformes à la réalité visible et se décline selon l’interminable catalogue les orientations sexuelles possibles.

Tous à plat devant le lobby transgenre

Bref, de plus en plus de mineurs sont affectés par le discours propagandiste du lobby transgenre, et s’il faut en croire le Dr Nokoff, la chose est vrai dans l’ensemble des Etats-Unis.
 
Les pauvres gamins qui entrent à l’hôpital pédiatrique d’Aurora sont ainsi utilisés au profit de la rhétorique LGBTQI+. On vante l’exemple de cette adolescente qui a salué devant la presse une initiative « énorme », « plus grande que n’importe quoi sur cette planète ». Elle qui se sent garçon n’en pouvait plus de voir un « F » sur son bracelet : « J’étais genre “non, ce n’est pas correct”. »
 

Bracelets d’identification asexués pour patients déboussolés

Pour autant, il y a quelques petites différences entre garçons et filles qui peuvent être d’un certain intérêt pour ceux qui les soignent. La nouvelle a été accueillie avec scepticisme par les internautes peu adeptes de l’idéologie des « non binaires » et autres « dysphoriques de genre » qui sont aujourd’hui le nec plus ultra de la liberté et de la non-discrimination. Ainsi quelqu’un a remarqué sur Twitter que le fait d’occulter l’information concernant le sexe de l’enfant peut être aussi grave que de ne pas signaler une allergie. Tel autre note : « Un corps féminin peut réagir différemment des médicaments qu’un corps masculin en raison des hormones, de la présence de moins de muscles et de moins de sang. Ces différences seront plus petites chez les enfants, mais les catégories “masculin” ou “féminin” ont un impact médical précis. S’en passer pourrait aboutir à mettre certains enfants en danger. »

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